Une envie folle...De se tuer... [Lamento]

Dans une course folle, Olivier fuyait d'autre mutants. Il ne comprennait pas, non vraiment pas. Pourquoi le blesser? Pourtant il était comme eux, une personne, un mutant, dont les humains ont rejetés. Mais pourquoi lui en vouloir? Qu'avait-il fait de mal? Il courait à grande emjambée. Peur que les autres le rattrape. Pourquoi existait-il? Il trébucha sur une racine. Il plana pour retomber sur le ventre le visage sur l'herbre. Il avait peur, il avait mal, mal à son corps mal à son coeur. Il trouvait qu'à chaque battements s'en était un de trop à sa vie. Personne ne l'aimait, enfin, seulement Hitte, mais cela ne paraissait même pas! Il était gentil avec lui, mais on dirait qu'il n'existait pas à ses yeux. Il resta sur le ventre, le vent sifflait fort à ses oreilles. Une larme coula lentement sur sa joue sale. Il se releva péniblement. Olivier avait un goût de sang dans la bouche, c'était pas très désagréable, puisqu'il était habitué. Son goût métallique était amer, enfin, c'était étrange à expliquer. Il avait mal aux jambes. Il s'était érafflé ses deux bras, enfin, c'était de toutes petites plaies, il n'allait pas se plaindre, cela lui arrivait souvent. Il reprit son souffle, il avait couru combien de temps? Combien de mètres? Il ne le savait pas, il était simplement trop occupé à s'enfuir des autres. Il entendit des bruits de pas, le suatres arrivaient. Alors Olivier recommença à courir, mais il tomba, car son genou avait bloqué. Il cria de douleur. *Merde!* pensa-t-il dans la langue française. Il sentit quon le relevait. On emmena ses bras vers l'arrière. On lui avait attaché les poignets et les chevilles. Maintenant, Olivier savait ce qu'il allait lui arriver, on allait le frapper, jusqu'à qu'il perdre connaissance. Il pensait qu'il allait se faire accepter ici, car il avait des pouvoirs commes les autres, mais non, il l'avait cru... Il croyait fortement, mais c'était encore la même histoire comme à l'orphelinat. Mais bon, il se disait qu'il était habitué de ressentir la douleur, pour lui c'était comme une chose normal, comme manger ou dormir. Bref, il sentit le premier coup de poing dans le ventre il voulu se pencher, mais on le retena fermement. On lui tira les cheveux, pour qu'il regarde en face de lui. Le type était plus grand que lui et juste à voir son poing cela lui donnait la frousse. Il était gros! Le jeune adolescent ferma fort les yeux. Puis il sentit le choc du poing sur sa joue. Il ne dit aucun mot. Seulement il savait que cela faisait mal... La douleur était intense. Olivier recracha du sang. Un liquide rouge et chaud coulait aux deux coins de ses lèvres. Il leva la tête au ciel. Voilà, son arrêt de mort... Il sourit. Oui, j'ai bien dit qu'il sourait. Il aurait bientôt la paix. Le mutant ferma les yeux et laissa son corps mou, il n'allait pu résister, il voulait en finir et vite.

« Ah tien? On abandonne? Cracha le mutant. Hé hé, on va bien s'amuser, aujourd'hui on fête tes funérailles mon jeune... »

Olivier ne répondit pas, il continua de sourire, il allait enfin trouver la paix. Mais voulait-il vraiment mourir? Et Hitte qui aimait tant, voulait-il le quitter? Pourtant celui-ci avait tout fait pour rendre heureux Olivier. Non, il ne fallait pas qu'il meurt à cet instant! Il pourrait faire de belle rencontre plus tard. Il regarda le mutant et crache de nouveau du sang, mais dans la figure du mutant. Oh là là, grosse erreur! Le mutant devena fou de rage. Il alla pour le frapper de nouveau, mais une rapace arriva sur lui en ouvrant ses serres. L'oiseau, qui était Borend griffa au niveau du visage de l'homme. Puis Borend lui arracha un oeil. Il parti vers le haut en écrasant l'oeil et laisse tomber l'organe. Le mutant cria de douleur, alors Olivier sentit un choc électrique dans son corps. Lui aussi cria de douleur. Il cria tellement fort que la pièce voisine pourrait entendre. Puis des épines longues de un mètres sortirent de son dos. D'autres épines de couleur blanches sortirent de partout sur son corps. Deux grandes cornes légèrement torsadées se dressèrent sur sa tête. Des plantes géantes vertes foncés sortirent du sol. Elle se tortillait dans les air comme des tentacules de pieuvre. Les plantes prirent les mutants et les épines s'enfoncèrent dans leur chaire molle. Il pleuvait du sang. Olivier eu un sourire sadique, il n'était plus le même toujours sous l'emprise de son pouvoir. Puis les plantes avec les mutants toujours rentrèrent rapidement dans la terre. Puis plus rien. Non aucun son. Juste le silence. Les épines rentrèrent dans le corps d'Olivier laissant plein de trous dans ses vêtements. Puis la douleur de son genou le firent revenir la réalité. L'adolescent cria de douleur. Il regarda partout autour de lui. Du sang.. Seulement cela qui y avait. Le liquide rouge était présent partout même sur lui!. Il paniqua. Qu'avait-il encore fait? Ses pouvoirs étaient trop fort pour lui. Il courut de nouveau même si son genou lui faisait atrocement mal, mais au moins il débloqua. Il courut et courut. Jusqu'à épuisement. Il s'adossa à un arbre et se laissa glisser contre lui. Borend son oiseau l'avait suivit. Des larmes coulèrent de nouveau sur ses joues sales de sang. Qu'avait-il encore fait? Il pleura de rage. Il leva sa tête et regarda Borend son balbuzard à queue rousse. Puis Olivier lui siffla des mots en langage des oiseaux disant « Aller rentre je vais te rejoindre plus tard... » Et c'était totalement faux ce qu'il avait dit, il n'allait jamais rentrer. Alors l'oiseau qui avait confiance en Olivier s'envola pour aller dans sa chambre. Puis après dix minutes, le mutant réussit à faire apparaître une plume noir. Une plume représentant la mort. Elle flottait devant lui, alors il la fit se liquifier pour qu'elle devienne un poignard et il réussit! Il prit le poignard et effleura la lame, celle-ci coupa légèrement sa peau. Il se mit le doigt dans la bouche pour sucer le sang. Puis après le retira. Aller c'était l'heure. L'heure de quitter ce monde pour plus jamais y revenir. Il eu une dernière pensée pour Hitte et le remercia et il alla pour planter le poignard dans sa poitrine...

(C'est nul! Désolé! Je ferai mieux >.<)

Sans savoir pourquoi, en cette nuit étrange, Rai n'arrivait pas à dormir, cela arrivait de plus en plus souvent, comme si il était perturbé, oui c'était cela, car, si l'on regardait sur un calendrier, on pouvai tvoir que, dans une semaine, ce serait l'annivairessaire de la mort de sa soeur...
De plus, le tatouage qui se trouvait sur son torse le brûlait ce qui n'était pas un bon signe, car cela signifiait , d'après ses sens de félins, qu'il risquait encore de tomber malade... Oui, et il faut avouer, que ses jours ci, le faites de sentir l'annivairsaire d ela mort de sa soeur lui rapellait la douleur de la balle plantée dans ses côtes...
Il marchait depuis un bout de temps, faisant fuir tout les mutants, qui avaient peur de deux choses en lui, sa taille, et la mauvaise réputation de violeur qui le suivait, mais ces imbéciles, ils ne savaient donc pas...Que même celui qui avait violer, sans le vouloir! Avait déjà été maltraiter de cette façon, par un total inconnu, le soir de noël... Ce qui faisait qu'il n'avait plus le goût de fêter cette fête!
Le scientifique marchait dans le parc, la queue traînant lamentablement déerrière lui, les oreilles basses, et son unique oeil, ne reflétant qu'une chose, le Vide!
Soudain, ses oreilles se redressèrent, sa pupille de chat s'agrandit, il venait de voir devant lui une scène étrange, c'était la première fois qu'il voyait cela à Tnatum, puisqu'on l'avait toujours tenbu hors des batailles entre mutants, et des tueries, tout simplement car il était bien le seul scientifique à être effrayer à la vue de la mort, enfin,, effrayer, seulement si la vixctime souffre...
Il resta figé, jusqu'à ce que le jeune mutant aux cheveux gris fasse apparaître un poignard, et à l'instant ou ce dernier voulut se tuer, il y eut un coups de vent,et de la poussière rosée arracha l'arme des mains de Olivier, la faisant se planter dans un cerf de pétale, qui détruisit le poignard! avant de disparraître... Puis, Lamento ui avait, on ne sais comment rejoint Olivier, sans un seul bruit, s'agenuoilla à ses cotés, les oreilles basses, avant de dire, avec un lèger sourire, un sourire faux, cachant une peur étrangement lourde:

" Eh bien, ce n'est pa sle jour de mourir petit ^^ '

Il parlait calmement, dévoilant à chaques paroles deux canines blanches, pas de vampire, mais de chat! Puis le scientifique laissa tomber ses cheveux blanc devant la moitié droite de son visage, pour cacher le bandeau noir... Sa queue battait doucement l'air, et lui, et bien il ne bougeai tpas... Si le jeune mutant voulait se tuer, ce ne serait pas maintenant! Non, pas la même semaine que sa soeur!...
( c'est nul -_-)

Du coup quand il allait planter le poignard dans sa poitrine, Olivier ne put le faire, car quelque chose l'avait emporter pour se planter quand quelques chose de roses... Des pétales? Il regarda, il était bouche bée. Mais osait se mêler de ses affaires? Et après tout, s'il voulait mourir, il avait le droit! Puis sans qu'il le sache, un homme grand était agenouillé à côté de lui, il ei un mouvement de recule. Qui était-ce? Olivier l'observa de la tête au pieds. Il avait des oreilles de chat? Et surtout une queue blanche. Qui était ce type? Tant de question sans aucunes réponses, il n'aimait pas cela. Il parla, mais Olivier le regarda. Mais pour qui qu'il se prennait celui-là à ce mêler des affaires d'Olivier. Et puis il avait droit de se tuer! Il fronça les sourcils, son visage devena dur. Olivier se leva rapidement, mais il dû s'appuyer contre l'arbre, car son genou le faisait horriblement souffrir. Il se mordit la lèvre. C'était dur à supporter. S'il voulait tuer, il allait le faire, même devant lui. Il s'en foutait si celui-ci allait croire que c'était de sa faute. Tsss, il en avait rien à foutre des problèmes des autres, déjà qu'il avait les siens. Très dur à porter pour un jeune adolescent comme lui. Olivier se frotta doucement le genou, oubliant la présence de l'homme-chat. Puis, il releva son visage, se syeux gris se posèrent sur l'unique oeil bleu de Rai.

« Vous êtes qui pour me donner des ordres? » Demanda-t-il fâché. « Si je veux mourire, je le ferai, même si c'est sous vos yeux... Pffff... »

On pouvait remarquer qu'Olivier avait un accent dans la langue française, car lui parlait hollandais! Dans son regard gris, ses yeux reflétèrent de la haine et de la tristesse. Il prit de grande respiration. Hé hé, il n'allait pas le laisser s'interposer entre lui et la mort. S'il voulait vraiment l'arrêter, eh bah pas de chance pour lui, car il allait recevoir ses armes ou peut-être des plantes. Ou encore mieux, les illusions de la mort! Elle qui va chercher le plus profond en vous votre phobie! Il avait de la misère à les contrôler, sauf voir le passé présent futur et les illusions de la mort. Alors s'il s'interposait, il allait subir les illusions. Olivier ferma les yeux et se concentra. Il fit apparaître une trentaine de plumes noirs. De simple plumes noirs, elle ne se liquifia pas pour devenir une arme, non Olivier allait simplement le tromper. Mais on pu voir, au reflet du rayon de la lune, un poignard tout simplement camouffler à l'intérieur de la plume. Mais elles restaient toujours aussi coupantes. Elles faisaient le tour d'Olivier, il y en avait même au dessus de sa tête. Le bout pointu des plumes pointaient Olivier. Et puis s'il mourrait, qui s'en souciait? Eh bah, personne justement! Tout ce qu'on faisait avec son corps c'était des violes ou de la souffrance quand on le battait. Si Hitte venait par le savoir, il s'en fouterait, c'était sûr à cent pour cent. Qui voudrais bien de la gentillesse d'Olivier? qui voudrait bien de son amour? Et puis, il ne connaissait même pas cela, ce l'amour ou l'amitié, enfin très peu.

« Et puis, cela changeras quoi pour vous si je meurt? » Questionna-t-il. « De toute façon je ne sert que pour deux choses, seulement, mais pour rien d'autre... »

En quelque sorte il n'avait pas tord, car la personne ne le connaissait même pas. Et il parlait qu'il servait au violeur ou à ceux qui battait les personnes. Il était fâché, très fâché. Puis sans qu'il le sache, une plume fonça tout droit sur lui, elle s'enfonça dans sa chaure molle vers le haut du dos. Il ne cria pas, non, mais il se mordit la lèvre inférieur. Cela lui faisait mal, mais enfin, il allait être débarasser de ses enveloppe de chaire inutile! Puis la plume tomba en cendre. Une petit flaque se créa, mais elle était petite. Son regard était posé au sol. Il respirait avec difficulté. Il se demandait comment l'autre réagissait. Était-il triste, fâché, heureux? Bref, plein de disponibilité pouvait être choisises. Mais il regardait toujours le sol, ses yeux semblaient être vide, comme si la vie l'avait quitté.

Lamento, qui était très patient, ne broncha pas lorsqu'Olivier se leva et recula, à vrai dire, il lui rapellait un peu lui lors de son adolescense, toujours effrayé par les grandes personnes, en qui il n'avait presque plus confiance, encore aujourd'hui! Le scientifique écouta calemement Olivier un peu trop peu être mais cela, c'était sa nature, et rien ne pouvais le changer...
Alors il se releva doucement, sa haute taille le rendant étrangement fantômatique, Lamento ne bougea pas, enfin, pas tout de suite! Il ferma son unique oeil, avant d ele ruvrir et de répondre:

" Qui je suis? Un simple mutant, qui ne veut rien à personne "

Mais le fait d'avoir entendu les derniers mots de Oliver transformèrent son regard, en effet, ce dernier devint plus dur et surtout, effrayé! Pourqui, la peur de la mort était elle si présente dans l'organisme de Lamento? A cause de ses propres erreurs, d ela mort de sa soeur, de ses naïvets de toujours!
Alors il répondit, gardan son calme, et sa voix fraiche et froide:

" Non, je n'accepterai plus aucune mort sous mon oeil "

Alors, comme sa, ce petit à l'accent hollandais jouait les malins, et pourtant, il n'étai tpas le seul à manipuler les illusions, au contraires! Mais en voyant les plumes, Lamento ouvrit grand son oeil, et encore plus au xparoles du jeune adolescent...

" Si tu meurt, premièrement, je me fenrai tuer, et deuxièmement, tu ne pourra jamais réparer tes erreurs, comme la tentative de suicide! "

Lamento pouvait parraître étrange, mais il n'était pas bête! Alors, à l'instant ou la flèche traversa Olivier, Lamento fit un pas, et avança la main, alors, un aigle immense, d'une envergure d'une dizaine de mètre déploya ses ailes, et entoura le mutant, et fit entrer Lamento dans le cercle de plumes, protégeant les deux, certes, c'était une illusion, e tpourtant, il semblait réèl!

" Dis moi... Pourquoi dis tu que tu ne sers qu'a deux choses? "

Lamento restait calme, même si la douleur intense de son tatouage le brulait, il restait immobileù;..

Olivier était fâché. Oui. Car on l'avait arrêté et lui voulait tout simplement mourir. Mais pourtant il trouvait cela curieux, car l'homme était patient et calme tout le contraire d'Olivier, enfin, pour l'instant. Mais d'habitude Olivier était un garçon calme, poli, gentil, mais il était toujours isolé dans son coin et cela faisait l'affaire à tout le monde. Alors, il se tenait tranquille pour pas que le mondre croivent qu'il voulait les tuer. Lamento répondit à sa question, Olivier sans souciait guère de qui il était. Enfin, il voulait pas le savoir. Non rien. Aucun renseignement. Tout ce qu'il voulait c'est qu'il parte d'ici. Qu'il ait loin pour ne pas se retourner et regarder Olivier mourir. Mais il remarqua aussi son regard, devenue plus dur et on dirait qu'il avait peur. Peur de quoi? Hmmm, il pensa que c'était quand il avait dit qu'il allait mourir même sous ses yeux. Alors, il avait peur de la mort? Bah enfin tout le monde avait peur de la mort, enfin, presque. Olivier lui n'avait nullement aucune peur de cela. C'était une sorte de délivrance pour lui. Et pour lui cela lui ferai du bien. Et puis il n'avait aucune raison d'exister. Qui voudrait bien de lui? Personne justement! Et lui avait besoin de personne. Non de personne. Il voulait que sa vie soit terminée à cet instant! Mais il fut étonné d'entendre le scientifique dire cela. Pourquoi il n'acceptait plus aucune mort? Et puis cela le regardait en quoi s'il mourait? Ce n'était pas de ses affaires! Son visage devena dur.

« Et j'en ai rien à foutre si tu veux pas que quelqu'un meurt sous tes yeux! » Cracha-t-il à Lamento. « Si tu ne veux pas voir quelqu'un mourir alors va-t-en! »

À cette dernière phrase, le jeune mutant avait crié. il en avait assez, il voulait simplement qu'il s'en aille. Olivier ferma ses yeux gris pendant quelque instant. Pourquoi il insistait tant? Pourquoi il voulait pas qu'olivier meurt? Il ne le connaissait même pas! Il réouvrit les yeux et constata de nouveau que ses paroles l'avait comme surprit, très même. Il arqua un sourcil pourquoi il se ferai tuer? À cause qu'on croierait qu'il l'aurait, pff, cela il s'en foutait ce n'était pas de ses problèmes. Et quels erreurs parlait-il? Il n'avait fait aucune erreur. Il s'en foutait s'il ne pouvairt réparer son erreur de suicide.

« La seule erreur dans ce monde c'est que je sois né » Cria-t-il fort.

Il ne peut se retenir ses larmes. Il éclata en sanglot. Oui, la seule erreur pour lui c'est qu'il soit en vie. Personne ne l'aimait, personne ne voulait de lui, alors cela servait en quoi qu'il reste en vie? Olivier mis sa main sur sa blessure qui saignait comme une fontaine. Il regarda Lamento avec horreur, non! Qu'il ne vienne pas avec lui! Mais il regarda la scène on aigle très gros entourait lui et le scientifique et les plumes. Quand celui-ci s'approcha d'Olivier, enfin quand il rentra à l'intérieur, Olivier recula. Qu'allait-il lui faire? Olivier se serra les dents à la question, pourquoi voulait-il savoir cela? Ce n'était pas de ses affaires. Non vraiment pas. Mais Olivier regarda le sol. Sans rien dire. Sa blessure à son genou recommençait à le faire souffrir, il tomba à genou en se tenant sa blessure à l'épaule. Il se mordit la lèvre.

« Ce ne sont pas de vos affaires! » Cria de nouveau Olivier impatient.

Mais il baissa son regard, regrettant d'avoir crier. Peut-être que la personne voulait l'aider. Mais bon, il se releva et regarda autour de lui et reconnut tout de suite, que cela était une illusion et que les illusions ne fonctionnaient sur lui, car il pouvait en créer et tout cela. Il lança un regard noir vers Lamento, ce regard voulait comme dire "Tu me crois stupide? Les illusions ne fonctionnent pas sur moi." Il recula et puis il réussit à passer au travers de l'aigle. Il se retourna et constata que les plumes n'étaient que des cendres. Il serra fort ses poings et commença à courir. Il ne se préocupait même pas de ses deux blessures tout à ce que pensait Olivier et de fuir cet homme. Il ne voulait pas qu'il soit en travers de son chemin. Il commençait à s'ésouffler au bout de dix minutes de course. Mais il continua. Sauf qu'encore une fois, il trébucha, car son pieds était coincé dans une racine. Il tomba encore sur le ventre et en plein face sur l'herbe. *Aie..* Il se remit sur ses genoux péniblement. Il étauit en sueur, il avait mal et il était ésoufflé. Il rampa jusqu'à un arbre et ferma les yeux. Il fit apparaître une dizaine de plumes et les mit une derrière l'autres, comme une file et elles se liquifièrent pour devenir un katana. Celui-ci était immobile dans les airs. Et Olivier fit en sorte que le katana bouge. Il réussit alors il lui ordonna de lui tanspercé le coeur et celui-ci allait aller pour le faire....

Non Lamento n'était pas le genre à se plier au bon vouloir des autres, surtout lorseque ces derniers voulait se tuerr, lui, il ne voulait pas! Oui peut-ètre que tout le monde le prendrait pour vieux jeu, mais il s'en moquait éperdumment, lui, il avait déjà vécu le fait de perdre quelqu'un et de vouloir sa propre mort, ce soir de noël; l'année de ses cinq ans, il n'avait cependant pas réussit, et bien qu'il ait tué sa soeur, sans le vouloir, et bien il avait réussit à vivre, sous la haine des autres, sous les regards noirs, et, jusqu'a ce dque Peccato soit libéré, il ne sortait plus, alors que maintenant, il savait qu'il avait quelqu'un sur qui compter, même si ce n'était qu'une seule!
Mais il ne dit rien, non, pour lui, il fallait mieux laisser passer, alors que si il répondait, il savait que le petit ne l'écouterait pas.
Quoi?! la seule erreur soit qu'il était né? Non, ce n'était tout simplement pas possible, chaque être vivant sur cette terre devait y faire quelque chose...La seule personne qui aurait put dire quelle n'avait rien à faire sur terre était encore Peccato, qui était au service des trois éléments, et encore! Même lui n'avait jamais rien dit , non il le gardait pour lui, ainsi que beaucoup d'autres secrets, qu'il ne voulait pas qu'ils tombent aux oreilles de Thomas et des autrres, oui, Lamento était le seul à vraiment le connaître, car, rien ne pouvait connaître le passé d'une personne étant un Démon! Qui avait tout oublié...et qui revoyait en rêves...
Oh, pourquoi le petit pleurait il? Etait ce de sa faute, ou bien celle d'un autre, Il ne savait pas, encore des question auxquelles il ne pourrait apporter réponses...Enfin pas pour le moment...Et puis, ce n'étai tpas la peine de reculer! Il n'allait rien lui faire, Non pas depuis qu'il n'avait plus Peccato dans le coeur, maintenant il n'osait même plus regarder les personnes, surtout celles qu'il avait déjà effleurer, voir plus, il avait peur, oui peur...Peur qu'on le blesse , qu'on recommence à mal le voir, et que l'homme le retrouve... Car il le savait, cet homme en noir, celui du soir de bnoël, il n'était pas mort, et surtout, c'était un mutant! Oui, un mutant, qui pouvait le contrôler, d'il ne sais plus qu'elle manière...
L'oeil azur du scientifique ne regardait pas le jeune mutant, non, mais les plumes qui semblaient dangereuses! Par contre il tourna les oreilles lorsque Olivier lui cria dessus, finalement, cela ne servait à rien, tout ce qui pouvait sauver ce gamin cétai tlui même, et puis, il n'avait pas à lui hurler dessus, lui rapelant le soir de sa fugue, ce soir là, ou il avait reçu une balle dans les côtes, celle qui l faisait tant souffrir!
Quand il regarda à l'endroit ou était Olivier,n qui fuyai tl'illusion, et qu'il vit son regard noir, Lamento n'eut rien d'autre dan sle regard, qu'une sorte de tristesse, mêlée à un sentiment étrange, un sentiment de douleur, oui le tatouage avait déjà remplit son travail, il l'avait blessé... Le scientifique ne bougea pas, et tourna la tête, se laissant tomber assis au sol, de dos à Olivier et sa course folle...

Mais , à l'instant ou la lame du katana allait toucher la peau de Olivier, une longue épée fendu l'air , et le fit éclater, avant de se planter droite dans le sol, elle portait sur le lame des inscription(l'épée sur ma signature), qui signifiait des choses, des vérités...Du moins pour Lamento! Qui était à dix mètres de là, et qui marchait doucement, une main posée sur l'endroit du tatouage, il semblait y avoir un fin filet de sang au coin de ses lèvres, ce qui étai tle cas... Le haut aussi était taché, car le tatouage fonctionnait!...Oui, la malédiction que ses sens de chats lui avait laissé, en effet, plus loin, on put voir s'évanouir une partie de lumière, les néants arrivaient, pas pour longtemps, car Lamento saignait, mais ils engloutissaient tout...
Le scientifique récupéra son arme, qu'il rengainat...Avant de se laisser tomber au sol, à genoux, sa queue posée sur l'herbe noire, il se redressa et se releva appuyé sur un arbre, il prit le temps d'essuyer le filet de sang au coin de ses lèvres, avant de regarder Thomas et de dire:

" Je n'abandonnerai pas si facilement, ce n'est pas parceque tu vois mes illusions, qu'il m'est impossible de te contrer... E tpuis, arrête ton cinéma, je ne toucherai personne ici, ce n'est pas la peine d'être sur ses gardes! "

Il avait deviné pourquoi Olivier reculait en le voyant , car il avait les même réactions que lui à son âge!... Il avait parlé les yeux fermés, et les rouvrit à l'instant, son unique oeil se posa dans la rétine de Olivier, comme cherchant quelque chose, ce qui pouvait parraître du suicide quand on connaissait le spouvoirs de ce mutant, lui qu infligeait des douleur aux esprits passé des gens, ce petit, qui était arrivé sous peu!
Mais Lamento s'en foutait! Lui il voulait simplement lui faire comprendre, qu'il n'était pa sle seul...et qu'il n'était pas seul!
Ne décolant pas son regard intense des yeux de cet étrange mutant, un double d'Olivier apparu à ses cotés, un double, qui était consistant! Et qu'on ne pouvait déceler en tant qu'illusion!
Ce fut ce mutant ci qui regarda son double avant de passeer une main dans ses cheveux, et de disparraître....

" Ne crois tu pas que les erreurs sonts commises par soit même? Et pas par les autres, surtout maintenant, je ne suis pas du genre à chercher la petite bête, non plus du genre... "

Il restait immobile, un peu trop peu être! Mais ce n'était rien!

Olivier ferma les yeux, enfin la mort... Mais il se trompa, car la lame du katana qu'il avait créé avec les plumes éclata. Tout les morceaux devenèrent cendres. Il serra les dents. Non pas encore lui? Olivier tourna la tête en direction d'où provenait l'épée. Il avançait dans sa direction, mais remarqua un filet de sang sur le coin de sa bouche. Pourquoi avait-il cela? Il ne le savait pas... Mais le regard d'Olivier était dur, il n'amait pas quand quelqu'un se mêlait de ses affaires. Il avait le droit de faire ce qu'il voulait de sa vie! Mais Olivier regarda autour de lui, commençait-il à faire noir? La nuit arrivait-elle? Mais il trouva cela étrange que l'herbe devienne noir elle aussi. Sûrement un pouvoir... Il le suiva des yeux. Quand il ramassa son arme, tomba à genoux et se releva pour parler. Olivier baissa les yeux. Il n'avait pas honte, mais était très triste. Il n'allait pas abandonner, pourquoi? Pourquoi voulait-il qu'Olivier soit encore en vie? Et de quoi il parlait en disant arrête ton cinéma? Mais Olivier ne l'écoutait plus vraiment, replongé dans son passé. Hitte lui avait qu'en parti ses rêves étaient vraies, mais pas pour la mort de sa mère et sa soeur. Mais lui il s'avait que cela était vrai. Hitte ne voulait pas lui dire, mais Olivier savait qu'il avait tué sa propre mère et soeur et que son père s'était suicider après l'avoir frappé à la tempe et l'emmener à l'église. En plus Hitte lui avait dit que son père l'avait violer trois fois ou peut-être plus enfin, il ne le savait pas. Quelques larmes coulèrent sur ses joues sales.

« Pourquoi? Pourquoi vouloir me garder en vie? » Demanda-t-il en pleurant. « Vous me ne connaissiez pas, non rien sur moi. Alors cela vous donnerai quoi si je restait en vie? »

Il avait parler doucement, mais à même temps sur un ton dur. Il regarda avec surprise le double de lui-même. Pourquoi en avoir faire apparaître un? Il trembla quand son double passa sa main dans ses cheveux à lui. Et disparue, laissant Olivier surprit. Est-ce cet homme qui l'avait fait apparaître si oui, pourquoi? Si non, qui l'a fait? Olivier se releva tout en écoutant Lamento. Alors, ce serait lui qui aurait commit les erreurs, mais qu'avait-il fait? Il voulait tant savoir! Du revert de son poing, il frappa un tronc d'arbre. Il se mordit la lèvre. Qu'avait-il fait? De nouveau, il pleura, mais en silence. Regardant les gouttes d'eau salées tomber à terre.

« Alors qu'est-ce que j'ai fait pour mériter de tel chose? Qu'est-ce que j'ai fait? » Demanda Olivier, même s'il savait que l'autre ne savait pas la réponse. « Je veux savoir! »

Incapable de rester debout à cause de sa blessure à son genoux, il tomba sur son derrière tout en repliant ses jambes sur lui. Il cacha son visage et pleura encore, mais plus fort cette fois-ci. Après quelques minutes, il essuya ses yeux et releva son visage pour regarder Lamento, mais détourna son regard pour regarder ailleurs que lui. Il se rappella de la question de celui-ci. Et c'était elle : Pourquoi dis-tu que tu ne sers qu'à deux choses? Pourquoi pas lui en parler maintenant et après partir, non pas pour se tuer, mais pour s'enfermer dans sa chambre. Enfin, s'il pouvait marcher avec ces deux blessures.

« Vous vouliez savoir, tantôt pourquoi je ne sers qu'à deux choses, alors je vais vous le dire.. » Dit-il sans le regarder. « Je ne sers qu'aux personnes qui aimes frapper les personnes faibles, des personnes qui qu'on croit sont des monstres... Et aussi je ne sers qu'aux violes... J'ai été violé plusieurs fois, je ne les compte plus tellement le nombres de fois que je me suis fait violer était grandes..... »

Voilà c'était dit, alors qu'allait faire la personne? Le laisser tranquille? Le consoler? Ou rire de lui? Bref, il pourrait faire n'importe quoi. Il voudrais tellement que quelqu'un le comprenne, que quelqu'un le sert dans ses bras pour dire que c'est finit, mais il n'y avait aucunes personnes qui pourrait lui faire cela... Il voulait donner son amour à quelqu'un. Lui dire qu'il l'aime, prêt à tout faire pour lui, même mourir. Mais qui voudrait bien de son amour? De nouvelles larmes coulèrent encore, incapable d'arrêter ce gros chagrin.

Tout comme la dernière fois, Lamento laissa parler le petit mutant, sans rien interrompre, il le regarda pleurer, mais il ne fit rien, pour l'instant, il était mieux que le petit pleure, c'était bon de pleurer, cela évacuait de sois beaucoup de pensées noires, et rafraichissait le coeur de toutes peurs, pendant un fragment de seconde, il permettait aussi de savoir que l'on vit, et que la vie est parfois cruele, mais aussi douce, comme l'effet d'une larme sur la joue...
Il l'écouta en gardant l'oeil fermé un léger sourire au coin des lèvres...Oui, ce petit lui ressemblait, bien qu'il ai peut-être subit encore plus de choses que lui, il lui plaisait, rare était les personnes qui osaient répondrent aux question du scientifique, peut-être étaient elles trop...vagues, ou bien, trop profondes, il ne le savai tpas mais bon, ce n'était pas de sa faute et puis, il ne changerait pas sa vie, non, ni celle des autres...
Après plusieur minutes de silence, Lamento se décolla de l'arbre, et s'approcha d'Olivier, pas très près et pas loin, non, juste ce qu'il fallait pour éviter au petit d'avoir peur de lui, de croire qu'il lui ferait ddu mal, mais en tout cas, il était à portée de main...

" Dis, quel est ton nom? "

(Lamento ressemble bien a Sôbi XD)
Le scientifique resta de marbre, son oeil bleu azur regardant à moitié Olivier, et à moitié le vide. Il ne resta pas longtemps silencieux, mais, ne parla pas de suite... Non, il leva légèrement la main, une de ses mains gantées qu'iul ouvrit laissant s'envoler un petit papillon bleu (pouvais pas m'en empêcher^^') qui vint se poser sur l'épaule de Olivier...

" Et puis, tu n'es pas forcément le seul dans une situation pareille "

Oui, on pouvai tmême dire qu'il était chanceux! Car Lamento, lui, se rapellait parfaitement de cette nuit, son pire cauchemar, le jour ou il avait perdu à jamais l'usage de son oeil, percé par une branche d'acier qui traînait dans cette rue lugubre... Le jour de l'apparition du tatouage noir, qui avait tuer des policiers, venus pour l'aider...A croire que ce tatouage maudit voulait sa mort...
Lamento ferma l'oeil un instant, un fin sourire se laissant voir sur son visage, un sourire triste, et amical à la fois, qui laissait entrevoir deux canines longues, deux canines de chat...
Lamento, une fois de plus tendit la main, mais il ne fit pas apparaître de papillon cette fois, non, il prit le poignet de Olivier, avant de dire gentimment, sans aucune onde de méchanceté dans la voix:

" Et puis, tu peux pleurer, ce n'est rien d'autre que bon ''

Olivier continua de pleurer pendant quelques minutes, mais il arrêta, incapable de continuer, ses forces avaient baissées, alors s'il continuait de pleurer il serait bon pour dormir ici! Mais il trouvait cela étrange que Lamento le laisse comme cela, peut-être il le comprenait. Ce n'était pas tout le monde qui avait un passé presque comme lui, mais il y en avait. Il leva son regard gris sur le visage du scientifique et vit s'afficher un petit sourire, pourquoi? Il ne le savait pas. Il essuya ses joues et frotta ses yeux, il était fatigué, après une journée pareil, il en avait assez, enfin, pour lui c'était une habitude. Ce faire moquer de lui, se faire battre par les autres étaient commes manger et dormir. Olivier le vit s'approcher, il eu peur, mais il se détendit, quand il s'arrêta, il détourna son regard pour regarder l'herbe, cette personne le comprenait, cette personne était comme lui. Alors, peut-être elle pourrait l'aider. Hitte lui avait dit de ne plus se préoccuper du passé, mais c'était trop douloureux pour le laisser en arrière et se retourner au présent. Le jeune mutant se frotta le genou pour l'apaiser. Il ne sentait plus le sang couler dans son dos, il avait sûrement coaguler. C'était mieux ainsi, mais cela l'avait fait diminuer ces forces, perdre beaucoup de sang, comme avec cette blessure aurait pu le faire mourir, mais non, s'en était devenue le contraire. Il releva la tête surprise. Sa question le laissa sans de voix, son nom? C'était bien la première personne qui lui demandait...

« Olivier.. » Répondit-il simplement en détourna de nouveau son regard.

Il avait un peu peur, mais enfin, c'était dur à le comprendre. Peur que celui-ci soit comme la personne qui l'avait agressé. Car des fois, les personnes se font agresser deviennent cela. Il adore faire du mal à les enfants, pas du mal en les battant, mais en les violant, comme un passe-temps... Mais pas pour les victimes. Déjà son agissement le laissait dans le doute. Mais bon, il devrait pas devenir aussi méfiant que cela. Alors pourquoi essayer de le connaître et de voir après? Olivier sortit de ses réfléxions, car il avait senti quelque chose de doux qui touchait sa joue. Il tourna lentement la tête et constata que c'était un jolie papillon bleu. Puis, Olivier leva ses yeux fatigués vers Lamento. Oui c'était sûr qu'il n'était pas le seul. Au contraire, il y avait beaucoup de jeunes qui se faisaient violer.

« Ik weet¹... » Soupira-t-il dans sa langue maternelle.

Olivier ne regardait plus l'homme, car il se préoccupait plus du papillon bleu. Il leva son index vers celui-ci pour le prendre sur le doigt et réussit. Il emmena le magnifique insect vers son visage. Lui adorait les papillons surtout les papillons lunes. De beaux papillons verts avec le basde la queue en long et surtout il adorait les comète de madagascar. De couleur flammes, ces papillons étaient une race incroyable. Pour lui c'était son insecte préféré. Pas comme les autres garçons ,qui eux aiment les araignées, mantes religieuses etc. Lui il était un garçon dont il aimait la beauté, pas les choses qui faisaient peur. Olivier fut pertubé quand Lamento prit son poignet, il eu très peur. Il avait eu presque envie de crier à l'aide. Mais il se détendit, il laissa partir le papillon et écouta Lamento. C'était vrai que c'était bien pleurer, mais cela n'allait pas changer le passé. Il se leva et ôta doucement la main de l'homme sur son poignet.

« Peut-être, mais cela ne va pas changer le passé.. » Dit-il en faisant un sourire forcé.

Hitte lui avait dit cela plusieurs fois. Même s'il l'écoutait pas, Olivier le faisait pareil. Il baissa la tête et regarda le sol. Il avait froid et avait vraiment mal. Surtout il était fatigué.

(¹ Je sais)

[M'ouais pis moi je devrais jouer Loveless avec ça? XXD)

[pourquoi pas XD hika ferais (pasquelle veut -_-) ritsuka et toi Sôbi xD ]

Lamento ne bougea pas, vraiment ce mutant était étrange, un coup il le repoussait et après, il ne semblait plus vouloir partir, vraiment étrange...Mais il lui dit enfin son nom! Cela faisait bien longtemps que personne ne lui avait dit son nom, par peur, mais bon, comme quoi il y avait encore des personnes normale sur cette Terre maudite, en ses lieux ou rien n'avait lieu d'être, où tout n'était que nuisance et guerre...
Alors il eut un lèger sourire, découvrant encore ses canines de chat...

" Enchanté Olivier-kun, je me présente, Rai Lamento "

Oui on pouvait dire qu'il parlait étrangement, mais le fiait d'ajouter 'kun' à la fin des noms était pour lui une simple habitude, tant qu'il ne connaisait pas bien quelqu'un, il ne l'appelait pas simplement par son prénom.... Il était d'ailleurs très étrnage que Lamento est dit son prénom au petit Olivier, car cela faisait bien longtemps qu'il semblait cacher cette part de lui, se faisant toujours passer pour Lamento, oui la personne lamentable, enfin cela il se le disait, mais ce n'était peut-être pas vrai après tout....
Quand à la seconde réponse de olivier, elle le laissa perplexe, lui, il ne savais pas parler cette langue, tout ce qu'il conaissait était sans doute sa langue natale, inconnue de toutes les personnes de tnatum, car il n'avait mentiopnné nul part ses quelconques appartenance à un pays, non, il était un voyageur, qui n'avait jamai mit un pied plus lolin qu'il ne le devait, sauf avec les exèce de Peccato!...

" ...Je suis désolé, mais je n'ai pas compris "

Apparement Olivier aimait son papillion, tant mieux! Et puis, il pouvait en faire autant qu'il le soihaitait! Il sufisait de demander...
Rai avait arrêté de sourire, il commençait à avoir froid, c'était mauvais signe, comme si quelque chose dans son organisme clochait, quelque chose qui était en train de le refroidir, et de le congelé, ou bien de le brûler vif, sans qu'il ne s'en rende compte...Oui c'était bien cela, c'était encore une oeuvre de ce satané tatouage...
Ceppendaznt il n'eut aucun geste mauvais à l'égard de Olivier alors que ce dernier se levait et le faisait lacher prise, non, il resta assis au sol, après tout il ne fallait pas forcer les gens, il le savait parfaitement, et il n'allait certainement pas dénier de cette règle!

" Non, sa ne changera rien, mais bon, tu pourrais toujour oublier un peu de temps en temps... "

Oui, c'était vrai, et puis, Lamento, lui ne pouvait pas plerer, tout simplement car il n'avait pas tellement envie de se blesser l'oeil, oui, car, son deuxième oeil, celui qui avait été arraché, et bien, il pouvait encore pleurer, et cela restait très douloureux pour lamento...
Enfin, le scientifique se leva, doucement, ses deux mètres ne faisaient pourtant pas de lui une brute épaisse, même si il pouvai tparraître effrayant...Il regarda Olivier, ce dernier semblait avoir vraiment mal...Mai sle laisserait il faire quoique ce soit? On n'avait rien sans rien non? Alors autant tenter le coups!

" Dis, tu semble exténué et tu es blessé, veux tu de l'aide? "

Il resta immobile, profitant d'une légère brise pour respirer un grand coup, pour calmer la douleur de la balle et du tatouage...Autour, l'herbe était àà nouveau normale, les ténèbres se retiraient petit à petit, laissant un parc magnifique, et surtout, beaucoup plus acceuillant...Le regard bleu de Lamento se posa sur le ciel, ses fausses étoiles, qu'elle calamité! Enfin, il n'y pouvait rien, non, il pouvait juste espérer que les prisonniers de Tnatum pourraient un jour être libres...

Au moins, quand Olivier pleurait, cela le rendait plus heureux par après, mais il était toujours comme cela. Son caractère était bizarre. Une journée, il peut être très calme, mais une autre, il aurait une envie suicidaire, mais quand il essayait de se tuer, eh bah, heureusement que quelqu'un était là pour intervenir. On essayait souvent de lui dire que ce n'était pas bien grave et d'oublier cela. Mais eux n'avaient jamais connus un pareil passé! Et ce n'était pas comme si ses parents l'aimaient, non au contraire, son père s'était suicidé, il avait tué sa soeur et sa mère pour "x" raison dont il ne la savait pas. Pas encore, mais il ne tarderait pas à la savoir dans ses cauchemars qu'il faisait à toute les nuits. Olivier resta un peu surpris, comment l'avait-il appellé? Olivier-kun? Qu'est-ce que cela voulait signifier? Sûrement une marque de respect... Enfin s'il ne se trompait pas. Rai Lamento? Il ne connaissait pas... Enfin, il voulait dire que par là, il n'avait jamais connu une personne portant ce nom-là. Non pas en Hollande.

« Oui, enchanté Monsieur Lamento... » Dit-il en rougissant.

Oui, il avait bien rougit, car c'était bien la première fois que quelqu'un lui parlait avec une marque de respect. Sauf peut-être avec Hitte, mais lui c'étsit bien normal, car on pouvait dire que cela était son père, mais pour Olivier c'était tout simplement son frère. Car il avait dix-neuf ans et lui quinze, alors ils étaient proche en âge. Enfin, aucuns adolescents l'avaient respecté, mais bon c'était un bon début... Mais bon, toujours préoccupé à s'amuser avec le magnifique papillon, Olivier ne c'était pas rendu compte qu'il avait parlé en Hollandais. Ce fut quand Rai lui dit qu'il n'avait pas comprit, il fit un petit sourire gêné. Il parlait bien français, mais disons qu'il pouvait avoir des blancs de mémoires de temps en temps. Mais il se corrigeait à chaque fois, mais cette fois-ci il ne s'en n'était pas rendu compte, non pas du tout. L'inscete avait prit possession de ses occupations.

« Désolé... Je voulais dire: Je sais » Se corrigea l'adolescent. « Je parle bien français, mais disons que temps en temps, j'ai des blancs de mémoires. Encore désolé. »

Puis il continua à admirer le papillon avant de le faire s'envoler. C'était bizarre pour lui de parler de ce genre de chose avec quelqu'un d'autre qu'avec Hitte. Lui était psychologue, alors il savait bien le traîter. Mais peut-être que Lamento saurait aussi bien le faire, vu qu'il avait eu la même chose. Il fit un demi sourire à la réponse du scientifique. Enfin de compte, c'était vrai que pleurer faisait énormément du bien. Même s'il le faisait souvent, il avait toujours de la peine.. Enfin c'était normal. Il avait toujours été seul, personne n'était là pour l'écouter. Sauf avec des séances avec Hitte, mais à part de cela non. Et puis, peut-être que miantenant il pourrait se confier à Lamento, enfin s'il n'allait pas l'ennuyer avec ses problèmes, il avait sûrement d'autre choses à faire que de l'écouter se plaindre et pleurer.

« Enfin, c'est bien aussi de pleurer... » Murmura Olivier dans ses pensées.

Olivier ne le remarqua pas tout de suite que Lamento s'était levé, mais après être sortit de sa rêverie, il vit la grandeur impressionnante de celui-ci. Il avait un peu peur, mais pasa pour ôtant, et puis certain naissait grand et d'autre petit. Et surtout cela le fit détourner son regard. Très gêné de le regarer. Lui qui était petit à son âge, enfin un peu, mais lui était grand! Il avait quel âge? Peut-être vingt-cinq? Peut-être moins ou plus. Mais bon, ce n'était paas vraiment de ces affaires. À la question du mutant cela le laissa bouche bée, c'était bien encore la première fois que quelqu'un demandait de l'aide. Pourquoi vouloir bien l'aider? Pourtant Olivier n'avait rien fait pour l'aider lui et surtout il n'avait qu'apporté le malheur. Il avait juste voulu se suicider.

« Je crois que cela va aller... » Répondit-il gêné.

Mais erreur, il bougea la jambe dont son genou était blessé, mais on pouvait entendre un "crac" même très bien. De nouveau son genou était bloqué. Olivier retena ses larmes, la douleur était intense. Incapable de se contrôler et surtout qu'il avait perdu l'équilibre, il tomba sur le derrière. En tenant son genou plié et bloqué. Il se l'était sûrement cassé. Il essaya de le déplier, mais il en était tout simplement incapable. Il regarda le sol honteux. Il aurait dû dire oui dès le début.

« Je crois que oui... maintenant... » Dit-il sur le bord de pleurer à cause de la douleur. « Enfin si vous vouliez toujours... »

Oui, il espèrait qu'il voudrait toujours et n'allait pas laisser Olivier dans un état pareil! Au sinon, il allait s'arrenger toute seul au pire...

Lamento sourit lorsqu'il vit le petit rougir, c'était rare, mais bon, chacun avait sa façon de réagir et cela, il le comprenait... Mais, Olivier le faisait bien rire, il lui ressemblait vraiment, mais en plus petit, même ses cheveux étaient gris! En plus, il semblait gêner de l'appeler par son nom de famille, ou même en disant monsieur, pourtant, il n'avait qu'a l'appeler Rai-san ou Lamento-san, et le scientifique n'en redirait rien, au contraire... Ici, il avant perdu l'habitude d'entendre des paroles, qui pour lui, avaient toutes un sens, que l'on dise "nuages" ou "mort" maintenant, il n'avait plus aucune réaction, car vivre dans ce monde créé, ne lui procurait aucune sensation vivables, et il avait peur de sortir, oui peur... C'était une des raisons pour laquelle les mutants se moquaient de lui, pourtant, ils savaient qu'ils n'avaient pas affaire au mutant le plus nul des scientifiques! Puisque Lamento savait comme faire pour percer un poumon à distance, n'ayant qu'a faire une de ses illusions réelles!
Il répondit, d'un air de grand frère, air qu'il n'avait pas exprimé depuis la mort de sa soeur...

" Tu n'as pas l'air très à l'aise, et puis, ne m'appelle pas Monsieur, je ne le mérite plus, se serait mieux d'ajouter 'san' à la fin d'un des deux noms, je comprendrai "

Mais quel personne pouvait bien être Lamento en vrai? C'est vrai cela, il semblait changer à tout moment, depuis quelques minutes, il était passé du froid, au gentil mais même si cela pouvait effrayer beaucoup, ce ne semblait pas énerver Olivier... Lamento écouta la traduction, avec une grande attention, ses deux oreilles blanches en avant, le fin velours qui les recouvrait frissonna sous une fine brise de vent, penchant leurs pointes en avant, avant de redevenir normales, une fois le petit ac-coups de vent passé...
Lamento trouvait cela étrange que ce petit semble gêné juste car il avait parlé dans sa langue natale, mais il ne se rendait pas compte de la chance qu'il avait? De encore pouvoir parler ainsi?...Lamento, lui ne le pouvait plus, la balle, ce soir là, avait altéré les données de son cerveau qui lui permettait de parler sa langue... Pourtant il tentait de la parler à nouveau, même si il n'arriverait sans doute jamais à redevenir comme avant...Non, puisque apparemment, son cerveau ne savait plus prononcer les langues étrangères...Ah ah qu'elle ironie, celui qui dit de ne pas vivre dans le passé veut redevenir comme avant, mais de quel culot se munissait il pour faire la morale?...

" Tu sais, tu peux parler comme tu le souhaite, j'essaierai bien de comprendre, même si il me sera totalement impossible de parler ta langue et puis, les 'blancs ' de mémoire, ils arrivent à tout le monde "

Il aimait bien cette expression "blancs de mémoires" lui, il n'avait jamais employé que "trou de mémoire" ou bien même "amnésie " d'après tout les médecins qu'il avait consulté...Tout ces médecins qui en étaient toujours arrivés à la même conclusion...L'asile, il aurait du y aller de par ses étranges pulsions dont il faisait autrefois preuve, mais qui n'étaient dû qu'a une seule chose, Peccato...Pourtant le scientifique avait pensé qu'il retrouverait la mémoire qu'il avait perdu après que ce dernier eut enfin un corps à lui mais, en réalité, les nombreux traumatismes dont son corps avait fait preuve étaient à l'origine des innombrables trous de mémoires qu'il avait...
Cependant, le murmure du mutant le fit revenir à la réalité, certes, pleurer était bien, à condition que l'on puisse! Ou que l'on en ai besoin, mais cela en générale, sa ne manquait pas, par contre, il arrivait que la personne n'est pas la possibilité...

" Oui, tu as raison, mais il faut pouvoir pour cela... "

Il eut un sourire, pourtant, celui ci n'était pas vrai, au contraire, derrière ce sourire se cachait une tristesse qui pouvait s'avérer étrange de la part de Lamento, puisque cette dernière n'était connue qu epar peu de personnes, enfin si Olivier, lui la conaissait, puisqu'il avait apparremment, de part soncomportement, vécu pas mal d'épreuves difficiles, en particulier celle de connaître la mort d'un proche, et de ne pas savoir pourquoi il était mort, Cela se voyait dans ses yeux, mais Lamento, lui connaissait parfaitement l'assassin de sa petite soeur, seulement, il n'avait jamais voulut avouer que c'était lui qui l'avait violée, qui n'avait fait qu'écouter son deuxième esprit, Peccato, et dire qu'il était maintenant son meilleur confident, qu'elle ironie!
Quand il eut la réponse de Olivier, cela l'amusa intérieurement, il savait parfaitement que sa n'allait pas, il n'était pas passé scientifique pour rien! Et puis, il n eserait pas partit quand même...

" D'accord... "

Au fond de sa voix, on ne pouvait discerner qu'un peu de tristesse, et de l'ironie, oui, il savait la suite des évènements, si bien que le son du genoux du petit mutant ne l'etonna qu'à peine! Enfin, il aurait tout de même espéré qu'il n'eut qu'un léger bobo, mais bon...
Lamento n'eut pas le temps de rattraper Olivier que ce dernier se retrouva par terre, mais, le scientifique ne bougea pas à sa demande, comme si il ne voulait plus...
Le regard posé dans le vide, Lamento attendait un peu, le tatouage brûlait encore...Il tourna la tête, pour ne pas que Olivier voit qu'a nouveau, un petit filet de sang coulait le long de ses lèvres, après tout, il n'était pas du genre à aimer montrer ses blessures, non plus, tout come Olivier, qui semblait avoir décider, ultérieurement du moins, de lui cacher sa douleur... Le scientifique ne bougea pas pendant au moins cinq minutes, ce qui aurait pu faire que Olivier décourage, de plus Lamento était tourné, mais au bout de ces cinq minutes, il leva la main et essuya la traînée de sang du bout de ses doigts, n'ayant plus la marque, sauf sur les doigts...
C'est seulement maintenant qu'il répondit, comme si de rien n'était!

" Oui je vais t'aider, mais la prochaine fois, répond tout de suite, d'accord? "

Lamento s'agenouilla au coté de Olivier, observant la blessure de loin, il ne voulait pas gâcher le peu de bon état qu'avait Olivier en approchant trop vite, il voulait simplement voir de loin...Pour l'instant mais il serait bien forcé de s'approcher...
Bon apparrement, le genoux était casser, si Olivier n'avait plus la possibilité de le bouger, ou alors, il était simplement bloqué, mais bon, cette dernière chose n'était pas plausible, puisqu'il avait chuté tout à l'heure, et qu'il avait du briser un os...
Lamento resta silencieux, regardant le genoux du petit mutant, il commençait déjà à se dire, que si il s'était cassé le genoux, c'était de sa propre faute, qu'encore une fois, il gaffait, qu'il aurait mieux fait de partir, laissant ce petit seul avec son histoire de mort...
Le scientifique baissa son unique oeil, pour fixer le gazon, avant de se ressaisir, et de relever l'oeil vers Olivier avant de demander:

" Par contre, j'ai deux questions, la première: Peux tu quand même bouger, et la deuxième: Est ce que tu m'autoriserais à regarder la blessure de plus près? "

Lamento resta immobile, en attendant la réponse, il n'allait pas partir quand même! Et puis, le faite de croire qu'il était le coupable de sa blessure, le clouait sur place...

Dans sa tête, les souvenir filaient, mais celui qui repassait le plus et celui ou il pleurait, ces larmes d'eaux, mélangées au sang, qui tombaient sur la neige, d'un après midi d'hiver au milieu de son pays d'origine, mais il y avait toujours avant cette vision d'un pleur douloureux, la nuit qui revenait, la nuit de noël , le cadeau de sa soeur, détruit par cet homme, qui avait obligé le petit Rai à se coucher dans la ruelle sombre, ou il avait été retrouver le lendemain matin, qu'il avait voulut récupérer le cadeau de sa soeur, même si il ne pouvait récupérer ses vêtements, tous emmenés par cet homme! Oui le cadeau il l'avait récupéré, et garder, cette petite peluche d'ourson blanc, déchirée, qui était posée sur sa table de chevet, et devant laqu'elle il priait tout les soirs, comme un autel, pour sa soeur, pour qu'elle soit heureuse là où elle était maintenant, par sa faute...

Rai tourna l'oeil vers Olivier, avant de dire :

" Au fait je suis désolé, c'est un peu de ma faute si tu es tombé, et puis, il ne fau tpas pleurer, sinon, tu ne pourra pas savoir si la douleur est réele . "

Après tout pleurer était une façon de prouver son existence, mais alors pourquoi Lamento ne pleurait il pas? Car il s'était fait des promesses, qu'il ne tiendrait, surement pas, mais bon...

[Ouah mon beau post -^^-]

[M'uiiii! Mais très lonnnnng à lirreeee. Tu vois ce que je veux dire? -_- xD Sa ma pris 3 fois pour bien comprendre...]

Pourquoi à tout les coups, quand il disait quelque chose, il rougissait? Une habitude? Peut-être, mais bon, il était fait ainsi et il ne changera pas, non c'était trop tard, enfin pour sa part de pensée. Mais cela lui donnait un charme voir ses joues blanches devenirent rouges, c'était assez mignon. C'était comment dire, un garçon qui aurait fait peut-être fureur avec les filles, mais n'oubliez pas qu'il était dans un orphlinat pour garçon, alors il ne voyait presque pas de fille, sauf quand il allait travailler dans l'animalerie. Un endroit dont il adorait, personne ne le dérangeait et on le félicitait pour son travail. C'était sa passion. Lui et les animaux c'était l'enfer! Ah comme il aimerait cela retourner dans son petit village en Hollande pour continuer à aller dans l'animalerie. Du coup, il sortit vite de sa rêverie pour écouter attentivement Lamento. Ce n'est pas qu'il n'était pas à l'aide, mais disons il ne savait pas comment appeller un adulte. Sauf avec Hitte, il l'appellait soit Hitte ou frère. Mais là c'était bien différent avec Lamento. Lui était un adulte, un scientifique dont il fallait respecter dans l'établissement Tnatum. Il arqua un sourcil, "san" une autre marque de respect? Sûrement, mais elle était différente qu'avec celle de "kun", sûrement pour les adultes... Enfin, il ne le savait pas.

« D'accord, désolé.. » S'excusa Olivier. « Comme Lamento-san ou... Rai-san? »

Sûrement qu'il ne se trompait pas. Mais il trouvait tellement cela étrange, mais cela le fascinait. Il voulait toujours en savoir plus sur tout! Surtout dans le domaine de la science, enfin la biologie, mais aussi d'autre petites choses... Mais aussi, il voulait savoir si Dieu existait vraiment, on lui disait de ne jamais écouter le bla bla des propos de science, mais c'était plus réaliste que la religion. Voir si quelqu'un qu'on n'a jamais vu allait créer la terre et l'homme, mais peut-être, mais en disant que c'est avec les bactiéries et fragtments de pierres que l'homme et la terre était existé étaient plus réaliste. Mais bon à chacun ses goûts pour la connaissance du monde. Il fit un demi sourire à la réponse de Lamento, oui peut-être, mais Hitte lui obligeait ne pas le faire, il voulait qu'il apprendre mieux le français pour passer ensuite à une autre langue. Oui, car Hitte voulait lui apprendre déjà qu'il était trilingue! Dès qu'il eu bien apprit à parler le français, Hitte allait lui apprendre sûrement l'espagniole ou soit l'allemand, ou peut-être encore attendre, il ne fallait pas trop se précipiter.

« Hitte ne veut pas, il n'aime pas trop cela, il veut que je m'habitusse à la langue française. » Déclara Olivier déçu. « Je suis déjà trilingue, je parle Hollandais, Anglais et Français et après d'avoir bien parler Français je vais sûrement apprendre une nouvelle langue.... Et cela ne plait guère, mais c'est Hitte qui le décide.. »

Oui, il était très triste, il aimerait beaucoup parler sa langue natal, mais hitte lui disait que cela n'allait servire à rien. Car ici, on parlait pas Hollandais, mais plutôt Français ou soit Anglais et un peu l'Espagniole. C'était deux langues importantes à connaître pour l'Espagniole ça restait à voir. Mais il pourrait bien parler dans sa langue si cela lui tentait après tout Hitte n'était plus là pour le surveiller. Et aussi en parlant de lui, c'était étrange, car Olivier parlait de lui comme si Lamento le connaissait qui était tout le contraire! Mais, c'était bien la première fois qu'Olivier parlait avec quelqu'un d'autre, autre que Hitte. Cela lui faisait grandement bien. Il écouta à nouveau la réponse de Lamento, mais il n'avait pas très bien compris, mais bon ce n'était pas grave, il n'allait pas le déranger avec cela. Et en plus déjà Olivier avaiut répondu non à la propostion d'aide à Lamento et il aurait dû dire oui. Mais C'était déjà fait. Et il savait que Lamento n'était pas dupe... Enfin il espèrait!!! Quand il fut à terre, Olivier eu le goût de crier, oui de crier comme un fou, car garder à l'intérieur de soi la douleur était quasiment impossible. C'était fou, on ne pouvait l'imaginer! Il serra les dents pour éviter la douleur, il regarda en même temps Lamento, on dirait qu'il souffrait et il vit même un filet de sang. S'il avait eu des oreilles de chats, il les aurait déjà plaqués sur la tête. Il voulait tant savoir pourquoi il souffrait comme cela. Il ferma ses yeux gris, comme si cela était de sa faute... Mais il els réouvrit pour regarder Lamento qui avait déjà essuyé son sang au coin de ses lèvres. Il eu honte quand il l'avait en quelque sorte gronder, enfin il ne l'avait pas vraiment fait, mais c'était disons un avertissement.

« Oui Mons.. Lamento-san. » Dit-il honteusement. « Je vous le promet... »

Dire qu'il avait faillit dire Monsieur, tellement habitué de le dire, qu'il pouvait l'oublier. Mais bon, de nouveau une douleur parcouru son genou, cela le fit crier, il n'avait pas pu retenir ce cri de douleur. Un cri impossible à retenir, car c'était trop douloureux. Il se demandait qu'allait faire Lamento, simplement regarder et l'emmener à l'infirmerie ou avait-il un pouvoir de guérison? Bref, il ne savait pas trop. Mais Olivier écouta le deux questions. Pour la première, il essaya de bouger, mais impossinle c'était totalement bloqué et puis en essayant il sentit un craquement, pas très bon signe. Mais pour la deuxième, il arqua un sourcil. Pourquoi? Avait-il peur? Peut-être...

« Non impossible de bouger... » Répondit-il. « Et oui vous pouvez regarder la blessure de près, je ne voyerai pas pourquoi... »

Il était toujours étonné de la deuxième question. Avait-il peur d'approcher Olivier de si près? De lui faire mal? Il ne le savait pas. Mais pour lui cela ne le dérangeait pas, non plus maintenant, il avait confiance en Lamento. Oui très même, il l'adorait. Il prenait le temps avec lui. Il n'était pas du tout pressé et allait au rythme d'Olivier. C'était bien. Tien, notre cher Lamento était dans sa bulle, à quoi pensait-il? Ah oui! Olivier avait oublié de quoi, une question dont il avait peur que celui-ci le rejette... Mais pas grave, il fallait essayer!

« Au fait Lamento-san j'aurais une question, si cela ne vous dérange pas non plus.. » Commença-t-il gêné. « Pourquoi, vous avez du sang qui coule au coin de votre bouche cela fait deux fois que je le remarque... Désolé si cette question vous gêne, ne répondez pas si vous le voulez... »

Non il n'allait pas le déranger pour cela et surtout Olivier érait curieux, il voulait toujours savoir tout! Mais la curiosité emportait parfois la malchance. Mais il fut très supris d'entendre la phrase de Lamento. Sa faute? Non jamais! Ce n'était pas à cause de lui. Mais aussi en même temps Olivier baissa le regard, c'était vrai qu'il n'arrêtais pas de pleurer...

« Non! Ce n'est pas votre faute! Et désolé si je pleure... » Dit-il en se mordant la lèvre.

Il ne voulait pas déplaire à Lamento. Il voulait lui montrer qu'il n'était pas un pleurnichard! Loin de là! Et puis, il savait que la douleur était réelle.

[Arff Gomenasaï si j'écrit bizarrement T_T]

Lamento écouta attentivement Olivier, oui c'était sa! Il avait vite compris le petit! Cela lui faisait plaisir... Au moins, il aprenait quelque chose à quelqu'un cela faisaitbien longtemps qu'il ne l'avait pas fait.
Lemento répondit gentimment , avec un lèger sourire:

"Oui c'est cela, tu choisis juste un des deux et puis c'est gagné "

Il sourit , certes, mai srien ne disais qu'il n'étai tpas un temps soit peu triste en son for intérieur, oui, car il éprouvait une certaine compassion pour ce petit, qui n'aurait jamais dû vivre tout ce qu'il avait vécu, même si Lamento ne savait pas son passé, et qu'il n'avait aucun moyen de le connaître d'autre que la parole, il devinait quand même qu'Olivier n'avait pas eut une vie facile, premièrement à cause de sa peur , lors de la première tentative d esuicide, et en plus, il parlait comme si il avait été trahis, puis mener à la baguette , élevé sans amour...Alors que Lamento trouvait qu'il avait mérité tout ce qu'il lui était arrivé, qu'il n'aurait même pas du survivre ce jour là, à cette balle encore plantée dans ses côtes...
Quand il entendit le nom de Hitte, il ne compris pas, mais il suposa que cette personne , Olivier la connaissait bien, donc attendit un peu...Par contre, il n'eut plus aucun sourire lorsqu'il entendit qu'en fait le petit mutant était obligé d'apprendre toutes ces langues, qu'il n'avait pas le choix... Certes c'était bien de ne pas parler qu'une langue, mais, il ne fallait jamais forcer qui que ce soit à apprendre ...
Lamento baissa son unique oeil, avant de dire:

" Et bien, avec moi tu parle la langue que tu souhaite, seulement, n'essaie même pas de m'en apprendre une ce serait peine perdu...Et puis, si tu ne veut pas apprendre, alors, dit lui en face...D'ailleurs...qui est Hitte?... "

Après cela, quand, le filet fut effacer, et qu'il entendit la réponse de Olivier qui parraissait honteux, pourquoi? Est ce qu'il avait peur d'être grondé par Lamento, ou bien il ne voulait pas voir la vérité...? Non, c'était plutôt la première solution, bien que Lamento trouve cela étrange, car il n'étai tpas du genre à s'énerver pour si peu , ou pout engueler quelqu'un, non, lui il restait souvent calme, et si y avait quoique ce soit, il partait...

" Pourquoi es tu ainsi? On dirait que je te gronde, ce n'est pourtant pas le cas, je n'en voit même pas la raison "

En effet ce craquement commençait à inquiéter Lamento, c'était vraiment cassé alors... Il pourrait y réparer, mais ce serait douloureux, bien que trois fois plus rapide qu'un plâtre!
Et puis, oui il avait peur, peur qu'un nouveau démon est élu domicile dans son coeur, et qu'il attaque encore le petit mutant, qu'il fasse comme Peccato, et que Lamento est encore, encore une fois, envie d emourir pour pardonner ses crimes...

" D'accord, pour les deux questions, alors, je peux déjà te dire, que tu t'es fêlé le genoux si ce n'est plus, dommage, j ene suis pas spécialisé dans les membres, mais plus le spoumons, sinon jaurais été plus efficace "

Il eu tun sourire, oui il venait de faire allusion à son métier de scientifique, c'était la première fois, car avant cela il n'avait même pas dit qu'il travaillait pour Tnatum, de toute manière Olivier le saurai tun jour...
Lui non plus n'avait pas eut l;e choix , on l'avait invité de manière agressive à venir ici, sous peine de mort...
Quand il entendit la question, Lamento eut un air trange, mêlé entre tristesse et sympathie...

"Alors tu l'as vu" Murmurra til pour lui même avant de répondre: " Ce n'est rien, juste une petite blessure interne "

Hum, pa strès équivoque, mais a moins, il lui avait répondu au lieu de l'envoyer voler, non, Lamento ne lui cacherait pas cette malédiction, qui le transformerait en démon, le soir de la pleine luna, le mois prochain, comme tout les mois...
Quand Olivier lui dit que ce n'était pas de sa faute, Lamento parut soulagé, au moins, il n'étai tpa sle coupable, enfin il essayait de croire cela!

" Mais, tu sais si je te demande de ne pas pleurer, c'est un peu de l'égoïsme, et de la jalousie "

Oui au moins, il l'avouait, pour ne pas avoir cela de plus sur la conscience...Oui Lamento était jaloux, car il retenait toutes ses larmes et il ne voulait voir personne pleurer, ni pour lui, ni pour quelqu'un d'autre...C'était de l'égoïsme pur et simple!

[Bon des fois, sa n'a pas trop de rapport, mais c'es tpour te réciter l'histoire par petit bout^^']

Alors notr cher Olivier avait compris, il avait tout simplement bien écouté ce que lui avairt dit Lamento. Il était très attentif, lui qui avait la soif de connaissance, voilà qu'il avait appris quelques de nouveau. Il l'intéressait bien, peut-être sait-il d'autre chose? Mais bon, pour ça, ça allait pour plus tard.

« D'accord. » Répondit-il content.

C'était bien pratique de savoir des choses et surtout d'en apprendre à tout les jours. La vie étaiur remplit de surprise pour jusqu'à aller au désespoir. Peut-être que sa vie allait recommencer ici et essayer de se faire de nouveau amis et de surtout de faire attention. Lui il ne voulait pas de dispute ou d'ennemis. Non, vraiment pas. Olivier était pacifique, il n'était pas du genre à insulter du monde, non il était attachant et doux. Mais quand il était fâché, attention! La mort peut venir avec. Enfin, le petit mutant regarda Lamento satisfait. Mais il trouva que son sourire, celui du scientifique, s'éffaça vite. Trop vite à son goût, alors il était fâché? À cause que Hitte lui obligeait, enfin, ce n'était pas vraiment une obligation, mais il voulait qu'Olivier le fasse. Le mutant regarda l'herbe, ne voulant pas vraiment voir la réaction de Lamento. Ah bon? Il pourrait parler la langue qu'il voulait avec lui? Cela émerveilla son visage pâle. Lui dire en face? Oh sa non! Il ne pourrait jamais faire cela. Non jamais. Mais c'était étrange qu'il s'intéressait à son père ou frère, mais en fait ils se prennaient pour des frères.

« Merci beaucoup Lamento-san. Et je ne crois pas que cela soit une très bonne idée de lui dire en pleine face... » Dit-il appeuré. « Hitte est celui qui m'a adopté à l'orphelinat. Il n'est pas mon père, enfin si en quelque sorte, mais on se prend pour des frères simplement. »

Puis fatigué d'être assis toujours dans la même position, il se coucha sur le dos, les bras croisé derrière sa tête, il regardait le ciel étoilé. C'était très beau à voir. Mais il ouvrit grand les yeux à la phrase, mais tourna sa tête pour pas le regarder. Il était tellement habitué de se faire gronder. Et il n'aimait pas montrer aux autres la méchanceté. Mais ce n'était pas le cas, mais peu importe, Olivier avait prit pour cela comme une punition.

« Je sais, mais j'y suis tellement habitué.. » Murmura-t-il triste.

Enfin il n'était pas totalement triste, mais il l'était. Mais il serra les dents, la douleur ne s'apaisait même pas! Elle augmentait! Ce n'était pas très amusant à surporter, il avait hâte que Lamento répare son os. Alors son genou était fracturé? Aie... Mais ce n'était pas la première fois. Il avait eu plein de blessure. Toutes sortes! Même une maladie grave, celle de la bactérie mangeuse de chaire. Olivier avait-il bien saisit le sens ou il avait bien compris que Lamento travaillait ici? il eu un léger frisson de peur. Est-ce qu'il allait l'opérer? Il espèrait que non! Il ne voulait rien savoir de cela, quoique s'il mourrait... Non! Il ne fallait pas penser à cela. Non il ne faut pas penser à des choses suicidaires... Et puis il y avait bien quelqu'un qui lui avait sauvé la vie... Mais bon Olivier tourna son regard gris sur Lamento.

« Fracturé... » Répéta-t-il surpris.

Il ne pensait pas qu'en tombant il pu se faire cela, mais bon, il pouvait rien y changer. Mais il aurait dû se taire et de ne pas poser cette question. Il était curieux ou peut-être trop. Mais on dirait que Lamento n'était pas si fâché. Une chance, mais il espèrait. Il eu lui aussi un regard triste, mais surtout rempli de regret.

« Désolé Lamento-san je ne voulais pas... » Dit-il triste. « D'accord si ce que vous dites est vrai alors je vous crois... »

Mais il savait que ce n'était une simplem blessure, mais s'il ne voulait pas en parler, il avait le droit. Il n'allait jamais forcer personne. Mais la phrase du scientifique le laissant sans de voix. Il était jaloux? Pourquoi? À cause qu'il pleurait? Mais pourquoi lui ne pleurait pas? C'était assez étrange. Mais Olivier tourna de nouveau sa tête, des mèches grises tomba sur son visage pour pas que Lamento voit celui-ci Il était triste. C'était étrange d'entendre dire quelqu'un qu'on était jaloux de lui.

« Vous pourriez me dire n'importe quel ordre, je vous écouterai. » Murmura-t-il. « De toute façon je ne sers à rien dans ce monde... Je ne suis qu'un objet... »

En quelque sorte il avait raison. Car on l'utilisait comme un objet, on l'avait jamais considéré comme un humain. Et qui voudrait bien le faire? Seulement Hitte, mais on dirait que celui-ci l'avait déjà oublié. Sa vie avait basculé....

[Désolé pour le post nul -_-]

Bon apparrement le petit n'avait plus aucune question sur les prénoms, tant mieux, ! Si il avait appris, alors, c'est que Lamento ne servai tpas à rien! Enfin, si mais, cela il ne faisait que le penser...
Par contre, quand Olivier se mit à sourire, cela le rendit heureux, pourquoi? Tout simplement car il pensait enfin faire du bien à quelqu'un au lieu de le blesser, qu'il pouvait tout de même être gentil, et non un scientifique qui ne faisait que tuer...
Par contre, il n'aimait pas trop l'air que prenait Olivier en parlant de ce Hitte, comme si il avait peur ou bien qu'il sois triste...Pourtant, se faire adopter, Lamento aurait bien voulut, seulement, il avait été traqué comme une bête, on avait tenter de l'assassiner de plusieur manières, mais rien n'avait fait, la preuve était que l'homme était encore là, pourchassé par ses pensées, tourmenter par tout les mutants...

" Pourquoi? Il te tuerai? Non je ne pense pas, et piuis tu peux toujours lui écrire...non? "

Lamento restait d'un calme étrange, presque angélique si l'on enlevait le fait qu'il était scientifique... Quand il vit le petit mutant se coucher il ne bougea pas, ayant simplement un petit sourire, qui signifiait un peu "et bien au moins il ne veut pas mourir" Mai sil n'en redit rien...
Alors comme sa il se faisait souvent gronder? Le pauvre, il ne méritait pas cela...Alors pourquoi? Pourquoi le grondait on? C'était ignoble! s'en prendre à un jeune mutant comme si il savait toutes les erreurs de la vie! Pff! Qu'elle mauvaise foies...

" Le monde est parfois ignoble, tu ne trouv epas? "

Il regarda le ciel, remuant sa queue blanche sur le gazon, y déposant des poils, il était de nouveau dans sa bulle, se rapellant d'un soir, ou il avait été poursuivit, par des habitants, qui le voulait vivant, pour toucher la récompense...Ils l'avaient acculés dan sune rue, près d'un immeuble désafecté, lui forcant à coopéré, lui il avait préféré la fuite, et avec ses dons de chat il avait grimper jusqu'a une fenêtre brisée, et il était monté tout en haut, même si son esprit ne voulait pas, il n'avait oobéi qu'a la fuite... et arrivé en haut, il avait menacer de sauter... Jusqu'a véritablement plonger, mais, il n'avait pas véritablement voulu mourir, non il avait réussit à se rattraper en vol à un morceau de bois, se détruisant à moitié la machoire, en cognant le mur, mais cela bien que ca ne se voyait plus, ca le faisait souffrir, autant que la balle dans ses cotes, mais moins que l'amertume de toute une vie...
Quand il entendit le mott sortir de la bouche de Olivier, lamento approuva en fermant son oeil unique, et en baissant les oreilles mais il ne dit rien de plus...
Par contre, il resta muet aux secondes paroles de Olivier, ne sachan tpas quoi dire, car il avait mentit, encor eune fois, pour cacher sa malédiction, et son apartenance à ce démon aux cornes noires, qu'il devenait souvent...

Ce ne fut qu"au fait qu'Olivier mensionna que Lamento réagit, en faie il réagit comme un idiot! Comme un enfant en colère!
Il se leva, mais, ceci sous l'effet de surprise, et se prit une racines, tombant en avant, sur Olivier ... La tête à deux millimètre de celle du petit mutant, et le torse légèrement collé a celui d'Olivier...

Olivier continua à sourire pendant un moment, mais son sourire s'effaça vite. Car il n'était pas habitué de faire cela. Il ne souriait que quand pour lui c'était nécessaire. Il joua avec une de ses mèches grises. Ses cheveux étaient tellement doux au toucher. Il s'occupait souvent à bien entretenir son corps etc. Mais c'était un peu dur à le comprendre. Il s'occupait simplement de lui, car il n'avait aucune ami, alors c'était lui et personne d'autres. Mais il baissa la tête quand Lamento lui demanda pourquoi. Lui-même ne le savait pas trop. Et puis, c'était sûr que non, il ne voulait pas le tuer, mais disons que cela allait grandement le décevoir. L'écrire? Oui c'était une bonne idée. Mais il préfèrait oublier cela. Ce n'était pas si important que cela. Et en plus cela ne pressait pas, il avait tout son temps. Il soupira avant de lui répondre.

« Non il ne me turas pas! Mais il va être déçu... » Répondit-il toujours en regardant le sol. « Et puis c'est une bonne idée de lui écrire, mais je préfère oublier cela pour le moment. »

Olivier souffrait, mais il ne le montrait plus, de toute façon peut-être que couché allait l'aider. Mais le résultat resta le même, mais bon pensons à autre chose. Mais à quoi? il ne le savait pas. Il ferma les yeux et le réouvrit, mais à moitié. La phrase du scientifique le laissa songeur pendant un moment. Oui le monde était ignoble. Peut-être plus. Il détestait ce monde-là. Un monde où reigne la pitier et la douleur.

« Oui un monde où la pitier et la douleur reignent en maître. » Dit-il tristement.

Olivier ferme de nouveau les yeux. Il rêvassa au beau papillon bleu qu'avait fait apparaître. Il avait remarqué que l'inscte brillait dans le noir. Le papillon était comme devenue une luciole. Le bleu flamboyait dans le noir. Il avait beaucoup admiré cela. Il entendit des petits bruits, alors il ouvra lentement lex yeux. Il regarde de gauche à droite, mais ne vit rien. Et surtout il regarda Lamento, tien on dirait qu'il était dans sa bulle. Car à le voir il n'avait pas réagit au bruit. Non pas du tout. À quoi pensait-il? Son passé? Son présent? Ou à autres choses? Bref, il pouvait penser à n'importe quoi. Mais quand allait-il réparer son genou? Peut-être qu'il pensait à cela. Alors il ferma de nouveau les yeux. Il fit le vide dans son esprit. Que cela lui faisait du bien. Le vide, le calme rien de stressant dans son esprit. Non aucune pensée négative. Mais en disant la dernière phrase, on dirait qu'il avait sorti de sa sorte de transe. Mais quand Olivier ouvra les yeux, Lamento avait tombé sur lui. Ils étaient très proche. Trop même. Son visage était proche de Lamento, il pouvait sentir son souffle chaud sur lui. Olivier se sentit rougir. Il était mal à l'aise. Il avait plein de papillons dans l'estomac. Alors Olivier il leva un bras et la mit entre l'épaule et le cou de Lamento pour le repousser doucement. Mais en le touchant son pouvoir fut activer. Et ce fut le passé d'Olivier qu'on pu voir.

Une femme aux cheveux noir frappait un jeune garçon aux cheveux gris. Il criait fort, il pleurait. Il voulait simplement quitter l'endroit. Puis une autre moment apparu. Un homme au cheveux gris comme Olivier s'avançait dans sa chambre. En plus il lui donnait des baisers sur la bouche du petit garçon de cinq ans. Et en plus il le caressait de partout. Le jeune ne pouvait pas parler car il avait été un peu drogué. Et puis il avait très peur. Un autre moment apparu après le viole. La même femme mais elle était couché sur la plancher toute mouillé, elle fut morte noyé à cause d'Olivier. Et puis sa soeur, dans un autre moment, on ne pouvait que voir du sang et un bras, car le reste du corps fut dans la terre emportés par des plantes mutantes. Le jeune garçon pleurait et pleurait encore. Il était dans sa chambre son père avait un bâton de baseball dans sa main il avançait doucement vers le garçon qui se lamentait. On pouvait entendre Olivier dire cela:

« Papa pourquoi? » Demanda-t-il en pleurant. « Dit-moi quelque chose papa... PAPA!! »

Puis le père l'embrassa et le frappa de toute ses force sur la tempe du garçon. Le pauvre fut dans le coma et surtout il avait un trou de mémoire de cinq ans... Il emmena le petit dans une église. Mais on pu voir le père se suicider avec un revolver. Et ce fut tout....

Après cela, Olivier commença à stresser. Il repoussa violement Lamento et recula. Il se tena la tête entre ses mains et cria de douleur. Il pleura de rage. Pourquoi il dut revoir son passé et surtout Lamento l'avait vu. Des plumes apparurent autour du jeune garçon. Elles se liquifièrent pour devenir des dagues. Puis trois dague partirent et rentrèrent dans la chaire du mutant. Il cria de nouveau de douleur, mais il ne fit rien. Il pleura toujours. Le sang coulaient à flot autour de lui. Il voulait vraiment se tuer.

(je reprend le post après le sparoles, sinon je vais me pommer XD)

Quand Lamento tomba en avant, il en resta trop pétrifié pour bouger, mais Olivier, qui voulut le repousser, il aurait telement souhaite que cela marche! Que Olivier ne lui enveuille pas après... Mais, quand il vit ses souvenirs, alors, xe fut la fin de tout...

QUi était ces gens, ? Sans aucun doute les parents de Olivier, mais pourquoi?! Pourquoi voyait il sa! Quand il vit le petit Olivier de cinq se faire violer, cela fit revenir dans sa tête, les souvenirs de ce soir de noël, mais lui, ce n'était pas son père! Alors que Olivier, lui, si...
Et puis, tout ces meurtres... C'était de trop! Et puis, ce pauvre Olivier, qui en avait trop subit... beaucoup trop pour un enfant... D'ailleurs, il avait prit peur en voyant que Olivier avait été l'hauteur de la mort...

Soudain le petit mutant le repoussa, le forçant à se retenir par terre, ses oreilles plaquées sur sa tête, il du se tenir les oreilles à cause du cri du petit mutant, se relevant en titubant, ses sens complétement perdus à cause des acouphènes qui arrivaient, encore une cause du tatouage... Mais il résista à cette douleur...et entrouvrit l'oeil, jusqu'a voir les dagues s'enfoncer dans la chaire de l'autre mutant, il ferma l'oeil, de peur, et à l'instant où Olivier hurla de douleur, Lamento se rua en avant comme il pouvait et l'attrapa avant qu'il ne touche le sol, se prenant une des dagues en la repoussant, mais ce n'était rien, il se soignerait...Grâce à Elizabeth, oui il avait toujours son pouvoir...
Sans vraiment hésiter, Lamento tira les dagues, qui devinrent cendres, comme avant, et le scientifique tint Olivier pour ne pas qu'il tombe...
Rai se laissa tomber à genoux, sa queue immobile, les oreilles plaquées sur sa tête, il tenait toujours Oliver serrer contre lui, comme si il avait peur que ce dernier tombe, et disparaisse pareillement aux plumes...

Il resta immobile pendant plusieurs minutes, serré à Olivier, il ne le lacherait pas! Quitte à devenir fou si il voyait encore son passé, il tenait... Alors quelque chose perla à l'oeil de Lamento, une larme bleu cyan, qui coula le long de sa joue, pour finir sur le visage du petit mutant...Puis, une douleur se fit sentir dans son autre oeil, cette orbite vide...et une larme coula, mais pas une larme normale, non, une larme de sang! Un sang mêlé à l'eau, ce qui lui donnait une couleur rosée...

" Olivier-kun, ne meurt pas, je suis désolé.... désolé... "

Il resta immobile et silencieux, tenant toujours le petit serré contre sa poitrine, une ombre semblant à un tribale les entoura, voletant tel une aurore boréale... Elle effleura Lamento, soignant sa plaie...Mais allait elle soigner aussi Olivier? Et ce dernier le pardonnerait il?! Non, lamento en était presque certain....
Mai sd'ailleurs... Si il avait put voir le passé de ce mutant, alors lui ,pouvait il voir le sien? Il espérait que non, pourtant...c'était le contraire, Olivier pouvait, son subconscient le savait mais il ne voulait pas l'avouer...

Olivier en avait assez, pourquoi fallait-il qu'il revoit son passé? Et en plus il devait fou! Il n'arrêtait pas de crier de douleur. Il voulait se tuer. Tout simplement quitter ce monde de malheur. Pourquoi devait-il souffrir comme cela? Comment ce fait-il qu'un jeune comme lui devait avoir tanr de souffrance en à peine quinze ans. Il avait mal, pas juste physiquement, mais aussi mentalement. Il avait une grosse migraine à la tête. En plus déjà qu'il voyait son passé dans ses cauchemars, pourquoi devait-il le revoir à cet instant-là? Et surtout pourquoi Lamento devait-il lui aussi le voir? C'était affreux! Déjà sentant les dagues dans sa dos, il soupira, il pleurait encore. Mais il savait que cela allait être finit. Oui finit. Enfin le moment qu'il attendait depuis qu'il était à l'orphelinat. Enfin, plus aucune souffrance, il allait être sûrement au paradis ou soit au enfer, mais il ne croyait pas vraiment à cela, mais il y croyait un peu. On disait qu'on ne souffrait plus. Souffrance... Quel drôle de mot, un mot comme celui-ci poir faire propager la peur parmi tant de monde. Olivier tomba vers l'avant, mais sentit quelqu'un le retenir, il leva faiblement ses yeux gris presque blanc vers Lamento. Il ne fit rien, mais il ferma les yeux lentement. Il voulait que saa vie en finisse-là, mais il se trompait, Dieu allait le sauver, car sa vie n'était pas encore finit, alors il sombra dans un coma lourd.

Quelque chose de mouillé tomba sur sa joue. Qu'est-ce que c'était? Il ne le savait paas, mais c'était doux... Il entendait des bruits, mais il ne savait pas d'où cela provenait. Puis il entendit des mots, des mots qui sonnaient très triste à son oreille. Ne meurt pas... Pourquoi? Qui voulait pas que Olivier meurt? C'était encore drôle à entendre, dire qu'on lui disait souvent meurt! Crève sale monstre! Mais jamais de "Meurt pas" c'était doux à entendre, mais celui-ci avait déjà choisit son chemin, celui de mourir. Oui, il voulait mourir, mais il craignait que Dieu ne le veuille pas. Non il ne voulait pas le voir encore. Mais pourtant, il le voulait. Voir le paradis. On disait que tout nos soucis s'effaçait et que les blessures, il y en avait aucunes. C'était tout simplement pacifique. Olivier ouvra les yeux, il voyait flou. Il ne distinguait même pas un arbre! Puis il cligna des paupières, mais toujours pas mieux. C'était comme si la vision allait s'effacer et il allait voir noir. Non! Il ne voulait pas devenir aveugle! Il voulait encore voir le visage de Hitte, de Lamento et surtout de voir les papillons que celui-ci faisait apparaître. Il toussa recrachant du sang. C'était pas vraiment un bon goût... Mais il était habitué. Il bougea un bras, mais à peine deux centimètres. Il respira, mais à peine. Sentant l'air rentrer dans ses poumons, mais ceux-ci le brûlaient de l'intérieur. Il tousseta encore. Mais c'étair drôle il était bien sur Lamento, sentant ses bras autour de lui, cela le réconfortait.

« La... ment-to... » Essaya de dire, mais sa voix était faible.

Il s'efforça à se lever, tremblait tout en bougeant, mais il s'en foutait. Il fut assit sur les genoux de Lamento et se retourna, il s'aggripa au cou de l'homme chat en entourant ses bras autour de son cou. Sa tête fut au creux de celui-ci. Il était rendu aussi mou qu'une poupée de chiffon. Des larmes coulèrent silencieusement sur ses joues pour tomber sur la peau du cou de Lamento. On dirait que celui-ci ne voulait pas qu'Olivier meurt et cela le réconfortait beaucoup. Il était heureux, mais en même temps triste... Il n'aurait jamais dû voir son passé, non jamais. Il était vraiment désolé que Lamento dû le voir. Pourquoi, c'est genre de chose arrivait-il à lui? Il se sentait tellement coupable de vivre. Puis il laissa ses mains glisser sur chacunes des épaules de Lamento. Il serra le tissus du vêtement d'une main. Il avait vraiment mal. Ses blessures le faisaient énormément souffrir. Il voulait que cela guérisse. Mais comment?

« J'ai... m-mal... » Souffla-t-il.

Oui très même. Il essayait de contrôler la douleur, mais s'en était trop pour un petit comme lui de tout endurer. Il commença à trembler.

Lamento restait immobile, il ne bougerais pas de si tôt, non, surtout qu'olivier était blessé...Autour de lui voletait toujours ses étranges tribales noirs, qui semblaient tout soigner quand ils passaient, c'était étrange, car cela ne rendait pas Lamento faible, non, au contraire, sa le revigorait, et puis, il n'était pas scencer avoir un tel pouvoir, comme si la malédiction agissait selon ses sentiments, qu'elle croyait qu'Olivier allait mourir si on ne faisait rien, et cela Lamento le savait aussi il était parfaityement au ourant, que plusieurs dagues enfoncer là ou elle l'avaient été étaient mortelles...
Respirant doucement, reprenant comme il pouvaait un souffle normal, toujours ces étranges larmes de sangb qui coulaient de sous le bandeaux noir, il entendit son nom... Et même si il n'y avait pas le suffixe à la suite, cela ne lui fit rien, alors que d'habitude, il prenait toujours peur à cause de cela, à croire qu'il ne pouvait vraiment plus approcher les autres... surtout Elizabeth, il avait bien trop honte pour retourner le voir...Même si elle lui avait pardonner pour le jour de son arrivée...
Il ne redit rien à Olivier sur son nom, non, il ne fit que redresser légèrement les oreilles, l'écoutant, peut-ètre allait il se remettre tout seul, mais il ne fallait pas trop rêver non plus...

Quand soudain il le vit bouger...non! Ce ne se pouvait pas! Eh bien si, enfin pour quelques secondes et encore... Car le petit se tenait déjà à lui, comme mort, comme si il n'arrivait plus a tenir ses muscles...
Mais lamento ne fit aucun mouvement pour l'empêcher de s'accrocher comme au enfant autour de lui, en fait, pour une fois qu'il se sentait un peu utile à quelqu'un il aurait préféré prendre les coups...
Sentant les larmes du petit mutant couler dans son cou, Lamento eut un regard triste, si seulement Peccato avait été là! Il l'aurait mieux soigner... Mais il ne pouvait pas se trouver à ses cotés tout le temps, lui aussi avait le droit de vivre sa vie et Lamento n'avait pas à le retenir plus longtemps...
Quand il entendit les secondes paroles d'Olivier, en sentant ce dernier serrer ses vêtements d'un air désespéré, il le serra contre lui, doucement pour ne pas le blesser plus et lui dit doucement:

" ne t'en fais pas, tu ne va pas mourir, on va te soigner...Tu n'aura plus mal... "

Lamento disait cela, mais il n'était pas sûr de résussir à le sauver! Mais, il savait une chose...tant qu'il n'aurait pas réussit, il continuerait, jusqu'à y arriver...
Autour d'eux, les tribales semblaient redoubler, et foncer sur les deux mutants, comme des vagues, jusqu'a effleurer un endroit d'une des blessures de Olivier et de la soigner en partie...Cela devait lui faire un bien immense, sachant que la plaie était refermée jusqu'a sa plus profonde blessure!...
Lamento ne bougea pas, mais il voulait donner un peu de réconfort et de courage à Olivier...Alors il fit apparaître un de ses petits papillons bleus qu'Olivier semblait tnt aimer, et le laissa se poser sur la joue de ce dernier, ouvrant et repliant ses magnifiques ailes...Le scientifiques laissa retomber ses oreilles encore une fois, et continua de tenir le dos d'Olivier, car, si il le lachait, il le savait le petit mutant tomberait...

" Tu verra, sa va aller... "

Le grand mutant, qui parraissait d'habitude si mauvais et effrayant, venait de devenir un vrai mouton! Et encore, lui qui était un des meilleur scientifiques, enfin celui qui arrivait le mieux à faire souffrir ses patients, même sans le vouloir, venait de dévoiler le vrai de lui même, il était comme tourmenté, perdu, et désorienté...
Doucement Lamento passa un main dans les cheveux d'Olivier, comme un grand frère, enfin, comme lui fauisaut toujours sa soeur, avant qu'elle ne meurt...

Olivier se sentait très bien sur Lamento, il savait qu'il y était en sécurité. Et cela le réconfortait en quelque sorte. Personne n'allait l'embêter. Non personne... Alors qu'il essayait de se redresser sur s'accrocher au cou de Lamento, la douleur était vraiment grande. Mais il ne devait pas y penser, non. Il devait se concentrer à vivre et de ne pas penser à la mort. Non pas pour l'instant, mais il savait que plus tard il allait penser à la mort. C'est ce qu'il pensait tout le temps. Il voulait revoir sa mère, sa soeur et son père... Non, enfin compte pas son père... Lui qu'il l'avait violé trois fois, regrettait souvent de ne pas s'être tuer avant que celui-ci le fasse pour la troisième fois. Eh bien oui, même à cinq ans, il pensait à la mort. Mais bon, on dirait que Lamento ne voulait pas lui répondre. Est-ce qu'il pensait que celui-ci rêvait à cause qu'Olivier était toujours vivant? Peut-être. Mais il pleura, c'était dur à surporter. La douleur augmentait... Elle ne faisait que toujours cela. Augmenter et faire souffrir. Dire qu'il aurait voulu mourrir que plutôt souffrir. Et puis quand Olivier avait serré les vêtements il sentit Lamento le serrer plus fort, enfin, plus doucement, mais il le sentait cela l'avait fait un peu sourire. Mais encore plus au parole de celui-ci le rendait un peu plus heureux. Il n'allait pas l'abandonner! Il allait l'aider... C'était comment dire? Vraiment remarquable, surtout que pour la première fois qu'il entendait encore ses mots-là. Et surtout, il voulait les rentendre, sûrement une autre fois. Et en plus il ne savait pas quoi répondre. Merci? Hummm, non c'était un peu bizarre de dire cela dans un tel moment en plus. Alors il tourna un peu la tête. Sa joue était accôté sur l'épaule. Il ne voyait plus flou, c'était rassurant. Mais il sentit quelque chose d'étrange qui se produit dans son corps, il sentait l'énergie remonter, comme si ses blessures allaient guérir. Mais pourtant c'était bien vrai! Comment ce fait-il? Il ne le savait pas, mais la douleur dimuniait. En plus il vit quelque chose de bleu sur sa joue, enfin, avec son doigt il prit l'insecte et se rendit compte que c'était un papillon. Est-ce qu'il lisait dans ses pensées ou il savait déjà qu'Olivier aimait les papillons? Sûrement. Il fit un petit sourire et regarda le bleu flamboyant des ailes. Mais il eu un sourire triste aux paroles de Lamento. Non ça n'ira pas... Peut-être que si pour les blessures, mais non. Alors il déposa le papillon sur l'épaule de Lamento et se décolla doucement de lui et le regarda dans les yeux avant de baisser son regard.

« Non! Ça n'ira jamais! Cette blessure ne guérira jamais... » Souffla-t-il tristement.

Des larmes coulèrent sur ses joues pour tomber soit sur Lamento ou sur lui. Il bougea le bras, avec le peu d'énergie qui lui restait il mit sa main où était situé son coeur et serra le tissus de son gilet. Il parlait de la blessure à son coeur. Une blessure comme cela, ne pouvait presque guérrir. Peut-être sûrement une personne qu'il aimait vraiment pourrait la guérir, masi qui? Il souffrait énormément. Ce n'était pas une blessure physiquement qu'il avaut au coeur, non c'était psychologiquement.

« C'est ici que j'ai mal... Cette blessure ne pourra jamais guérir. » Murmura Olivier triste.

Il essuya ses yeux, il ne voulait pas trop montrer à Lamento qu'il était faible, mais bon, on savait déjà qu'il était très sensible. Et il était fort psychologiquement à la longue, mais à certain point, il était sensible. Mais la force le quitta peu à peu, alors il se laissa tomber vers l'avant. Et encore une fois, il passa ses bras autour du cou de Lamento. Il voulait que quelqu'un lui guérisse cette blessure qu'il avait depuis longtemps.

Lamento resta immobile, gardant toujours un oeil sur Olivier, pour être sûr que ce dernier ne meurt pas, de toute manière si il mourrait, le scientifique ne le laisserait pas emmener, non, il s'en occuperait, comme un frère... Et de toute façon, il deviendrait certainement fou avant... Non! Il ne fallait pas penser à cela, pas penser à la mort... Pourtant c'était si dur, il savait que Olivier n'en pensait pas moins, que lui aussi pensait à la mort... Mais il ne fallait pas...Non, au pire, Lamento pourrait toujours essayer de ramener le petit mutant, avec l'aide d'un précieux mutant, mais, ce ne marcherait pas...c'était certain...
Lamento n'entendait plus Olivier, cela l'inquiétait un peu, mais il sentit le jeune mutant poser sa tête sur son épaule, Lamento fut réconforté, car ce petit mutant ne mourrait pas, non, les tribales étaient en train de le soigner, jusqu'a la moindre égratinure, même son genou... C'était étrange pour Lamento de voir cela, était donné qu'il ne se fatiguait même pas! Et qu'il n'avait plus de blessures non plus...
Le scientifique remarqua que l'atention de son petit mutant était sur le papillon, il en était heureux, ayant visiblement trouvé ce qu'aimait un peu OLivier, même si il ne devait pas aimer cela comme Hitte, enfin! C'était ses pensées, qui dit que ce n'était pas le contraire? Après tout, pour Lamento avoir ne ceraisse qu'un père adoptif était normal, et beaucoup mieu que vivre seul...Mais qui sais si il avait raison cette fois...?
Le scientifique fut tiré de ses pensées par le petit papillon posé sur son épaule,il laissa Olivier se reculer, après tout, il n'allait tout de même pas le forcer à rester près de lui...Il fut même ettoner que le petit mutant ne parte pas, mais qu'il reste avec lui! Mais son regard, regard si triste, trop triste pour un enfant le choqua... Il l'écouta, avant de baisser le regard, un sourire triste étendu doucement sur ses lèvres, Olivier avait eut raison de le rapeller à l'ordre ainsi...De toute manière, Lamento avait été trop proche du mutant, trop à son gout, et si il devenait comme Peccato?!
Il ne dit rien, mais au secondes paroles de l'enfant, il releva les yeux, une larme de sang coulant de son oeil bander, tombant sur ses mains, se mêlant à celles de Olivier, il répondit en posant sa main droite sur celle de Olivier:

" Tu as raison, désolé d'avoir dit cela, je ne voulait pas... "

Il faisait semblant de sourire, comme d'habitude, mais c'était pour ne pas qu'on le croit trop triste, à vrai dire, le gamin ici, c'était lui! Pas Olivier...
Quand il vit le petit retomber sur lui et s'accrocher à son cou, Rai eut tout de suite le reflex de le serrer doucement, pour ne pas qu'il tombe de coté... Lamento appuya la tête du petit mutant sur son épaule, en laisant sa main sur sa tête, comme avant... Lui, il regardait le vide, laissant les larmes de sang couler, il ne bougeait pas, au moins, là, Olivier ne pouvait pas le voir pleurer, c'était bien...

"Repose toi...tu ne risque rien... "

Vivre... Drôle de mot qui sonnait étrangement à son oreille. La vie fallait-il la mérité? Pourquoi tant souffrir? C'était très dur. Vivre pour lui était comme s'il devait soulever la lune. C'était impossible. Mais déjà on l'aidait à vivre dans ce monde de fou. Il était une des personnes rejetés en ce monde. C'était dur à accepter, mais il devait s'y faire et puis déjà, il avait faillit s'enlever la vie, mais Lamento lui en avait empêché. Et cela prouve que quelqu'un tenait bien à lui. Enfin, c'est ce qu'il croyait. Toujours confortablement installé contre Lamento, Olivier ferma les yeux et pensa. Après être bien rétablit qu'allait-il faire? Et allait-il revoir Lamento? Il espèrait que oui. Mais bon, il ne pensa plus à cela, car il s'amusait avec le papillon bleu. Caressant ses ailes douces, Olivier souri, mais il ne le garda pas pour bien longtemps. En plus du papillon qui le rendait heureux, ses blessures étaient guéris de A à Z. C'était beaucoup mieux comme cela. La douleur était disparue et il pourrait enfin mieux respirer. Alors il recula pour regarder Lamento, ses blessures étaient guéris certs, mais pas celle de son coeur. Et déjà il était triste, très triste. Mais il avait regretter d'avoir dit cela. Et puis lui aussi l'était mais pourquoi? Et il vit la larme de sang tomber sur la main de Lamento. Il fut surpris et surtout désolé.

« Non ne t'excuse pas... » Souffla-t-il. « C'est de ma faute... Je n'aurais pas du...»

Il était sincèrement désolé d'avoir dit ces deux phrases. Mais les forces l'abandonna vite, alors il tomba et s'accrocha. Il sentit Lamento le serrer, cela le réconfortait. Il était sûr qu'avec Lamento il serait en sécurité. Puis peu de temps après il se decolla de lui et essaya de se relever, ses jambes tremblèrent. Puis il tomba, mais une plante mutante sortie de la terre et s'enroula autour de la taille d'Olivier. Elle le tena pendant que celui-ci reprenait son équilibre. Son pouvoir sur la végétation agissait comme une mère avec lui. Quand il était en danger, elle venait prendre le contrôle de la situation. Et puis on pu remarquer de longue épines blanche de quinze centimètres, même peut-être plus, sur la plante. Puis croyant qu'Olivier était correcte, la plante rentra dans la terre. Olivier ne se tenait pas encore bien. Alors celui-ci tombas sur Lamento, Olivier était à peine deux centimètres du visage de Lamento, même ses lèvres effleuraient celles au scientifique. Le jeune adolescent rougit comme une pivoine. Il tourna un peu sa tête et pour pas le regarder, en plus il avait des papillons dans le ventre. Puis il le regarda à nouveau.

« Au fait merci... Lamento-san.... » Déclara Olivier gêné.

C'est alors qu'il déposa un simple baiser sur les lèvres de Lamento. C'était sa façon de le remercier. Il recula la tête et sourit. Aussi il voulait voir la réaction de celui-ci. Il espèrait qu'il n'avait aucune gaffe.

Rai restait immobile, il réfléchissait, à ce qu'il ferait si le petit mourrait, hum, mais pourquoi? Pourquoi pensait il cela? Et puis, de toute façon, le petit n'était qu'un mutant non? Si , evidemment, mais Lamento ne savait pas pourquoi, il était étrangement accrocher à ce petit être sans défenses, qui lui ressemblait tant...Pourtant, Lamento ne savait même pas si Thomas l'aimait bien, mai sil le pensait sinon, le petit mutant l'aurait déjà blessé ou il se serait tué...Mai spourquoi tenait il tellement à voir la mort?....Lamento se rapella d'une chose, Peccato, il était directement lié à celle qu el'on nommait "mort"...Alors, peut-être qu'il pourrait aider Thomas à la craindre...Non, c'était trop risqué, si Peccato venait à le violer, alors le petit n'aurai tmême plus confiance en lui, ni en Lamento, et là, ce serait l'irréparable, et cela Lamento ne l'accepterait pas, non plus jamais!
Rai regarda Thomas d'un air serein quand ce dernier s'excusa, mais il ne lui dit rien, se contentant de le serrer dans ses bras...
Par contre, quan dle petit mutant voulu se lever, Lamento ne l'en empêcha pas, mais , alors qu'il manqua de tomber, le scientifique n'eut pas le temps de se lever, que les plantes avaient dejà rattraper le jeune mutant...Mais il eut peur de cette longue épine, et si elle venait à toucher Thomas? Le blesser? Mais encor eune fois, l'esprit de Lamento ne fut pas assez rapide, il faut dire qu'il était épuiser...Alors Lamento eut l'air soulagé, croyant que le petit tiendrait debout...Il eut tord!
Sentant le fin contact des lèvres de Olivier sur les siennes Lamento rougis, ce qui faisait étrange sur sa peau habituellement d'un blanc nacré...
Mais Olivier se détourna ce qui fit plaisir a Lamento,,enfin d'un coté! Car il aurait bien aimé entrer en contact avec le petit...Mais quest ce qu'il pensait! C'était mal!
C'est alors que Lamento regarda Olivier, qui le remerciait? Pourquoi? Mais son geste, ce baiser, il ne rougis presque pas, mais un peu, c'était normal... Avant de dire doucement:

" Mais de rien Olivier... "

Il n'avait pas dit "kun"! Ce qui prouvait qu'il sen sentait proche du petit... Mais, avait de pouvoir réfléchir plus, Lamento avança un peu la tête, et déposa un baiser sur les lèvres de son protégé...Mais allait il continuer? Oui, mas pas tout de suite, il fallait aller doucement...

C’était drôle en même pas une heure, Olivier aimait beaucoup Lamento. Il était accroché tellement à lui qu’il ne voulait pas qu’il le quitte. Non, il ne voulait pas encore qu’on le laisse seul dans ce monde de fou. Enfin il était habitué de l’être. Mais les personnes qu’il aimait tant l’abandonnait. Puis cela avait créer un gros trou dans son coeur. Enfin, il était devenu noir comme les ténèbres. Celles-ci se nourrissait de sa haine. On essayait toujours à le remettre droite sur le bon chemin, mais lui il ne voulait rien savoir de la vie. Seulement rester seule dans son coin sans se préoccuper des autres. Enfin ce n’était pas qu’il était égoïste, mais il n’avait jamais appris à partager rien. Sauf avec Hitte et les animaux au sinon. Non. Et puis, déjà Olivier avait vécu heureux en quelque sorte, il ne devait pas se soucier de grand chose. Il était seul. Seul dans son monde imaginaire! Et puis se garçon était très autonome! Il ne demandait jamais de l’aide aux autres, sauf si c’était vraiment important. Mais bon nous nous éloignions du sujet. Tout alors qu’Olivier se leva il perdit l’équilibre, mais une plante sortit de la terre le tenta bon. Cela était rassurant. Il sourit pour rassurer Lamento, mais quand la plante le lâcha il tomba sur l’homme chat. Puis il vit que Lamento aussi avait rougit! Tout comme lui. Alors d’une certain point ils se ressemblaient! Puis Olivier l’avait remercié. Après le petit baiser. Lamento dit son nom, mais sans le « kun » c’était étrange! Cela voulait signifier quoi? Mais bon, il était un peu inquiétait, mais au baiser de Lamento il rougit de plus bel et il entoura son cou de ses bras et joua avec une mèche des cheveux blancs au scientifique. Puis quand le baiser fut rompu. Oliver s’approcha de son oreille (Enfin si t’as une oreille humaine au sinon c’est celle de chat xD)

« Ik aanbid je¹ » Murmura-t-il à son oreille doucement.

Il recula la tête pour le voir. Il n’allait pas traduire le mot, mais c’était sûr que Lamento allait trouver! Il émit un petit rire et ferma les yeux satisfait. Ahhh! Comme Olivier était étrange parfois! Son humeur pouvait changer à tout bout de champ! Soit qu’il était triste puis devenue joyeux par après! Et c’était le cas de le dire! Mais celui-ci continuait à jouer avec la mèche de cheveux. Il la trouvait tellement douce. Comme du cachemire. C’était doux et chaud.

[¹ Je t'aime ou je t'adore] (C'est nul sorry T_T)