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 [ 126 ] Elea Senoete

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Vincent Valentine
Nacura Yamamoto
Elea Senoete
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Elea Senoete

Elea Senoete


Nombre de messages : 2
Date d'inscription : 10/02/2008

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MessageSujet: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 2:46

~ Dossier 126 ]
    [ Nom ~ Senoete

    [ Prénom ~ Eve Sanae Hay Elea...

    [ Âge ~ 19 ans

    [ Sexe ~ Féminin

    [ Sexualité ~ Bi

    [ Race ~ Mutante

    [ Nationalité ~ Aucune

    [ Secteur ~ B

    [ Pouvoirs ~ Si ce ne sont pas vraiment des pouvoirs, ils agissent comme tels. Elle possède donc deux caractéristiques. La première est sa capacité à passer outre les pouvoirs des autres. J'entends par là que si vous tentez d'utiliser vos pouvoirs, ils glisserons sur elle, et ne l'atteindrons pas. Sa seconde "particularité" est qu'elle a empoisonné son sang. Ce n'est pas forcément voulu, mais il a évolué, et peut empoisonner quelqu'un, plus ou moins gravement selon la quantité, si il entre en contact avec autre chose qu'Elea. Outre cela, elle ne possède rien d'autre, ce qui la place dans le secteur B, dans la mesure ou ce sont des capacités qu'elle n'a pas à contrôler, puisqu'elles sont omniprésente. Elle en découvrira peut-être d'autres, mais ils ne sont pas encore bien définis.

~ Physique ]
    On le sait tous ; De nos jours, qui n’est pas parfait est exclu. Ca tombe bien, puisque la plupart, toutes les créatures sont d’une perfection à couper le souffle, n’est-ce pas ? N’est-ce pas ? C’est ainsi qu’ils se décrivent, tous... Alors puisqu’on est si parfait… Autant en profiter, non ? Aller, sans tomber dans la décadence, tirons le portait d’Elea Senoete, l’Angélique demoiselle…

    Ses cheveux seront le premier point de ma description. Longs. Oui… La première chose que l’on remarque chez elle (Lorsqu’elle est de dos, cela va de soi), c’est cette longueur inattendue, puisque ses cheveux, tels l’eau qui coule, cascadent sur ses épaules, embrassent son dos, caressent ses hanches, puis finissent leur course au niveau de ses genoux, les frôlant à peine lors de leur fine balance, lorsqu’elle se déplace, se retourne, ou se contente d’un délicat mouvement de tête, geste simple… Regardez… Le soleil délicatement vient jouer avec sa chevelure. Ses rayons s’y reflètent, les faisant éclatants. Eux qui sont d’un blanc, pur, ils se teintent de ce rose si délicat, si discret, à la lumière des astres, du jour ou de la nuit. Ils paraissent onde, tant en ces moments ils semblent soyeux et fins, se mêlant, se démêlant avec une facilité certaine. La frange qu’elle se dessine occasionnellement s’arrête tout juste au niveau de son regard, autant prenant, bien que moins paisible, c’est visible. Ses yeux… Fais d'un rubis terne et mort, ils sont de cette même finesse dans la couleur pleine... Le reflet du soleil sur un lac, le reflet de la folie, dans les profondeur de son esprit… Innaccessible. Un puits sans fond vous regarde, de par la couleur attirante de ses yeux, un coucher de soleil sur l’océan, horizon rougeoyant, teintant le contexte de chaleur, de cette chaleureuse chaleur, celle du feu, qui brule, qui consume, jusqu’à ce qu’il ne reste rien… Rien que des cendres… Alors, imaginez. Un être, simple, peu complexe, qui croiserait son regard, observerait ces cheveux qui flirtent avec le vent, un sourire délicat posé tel un papillon sur les lèvres de la demoiselle… On comprend pourquoi certains ont pu se barrer en courant. On put être Orgueil, et faire Peur à la fois…

    Ne vous avais-je pas parlé de Perfection ? Tout tient en métaphores qui ajoutent à ce mot, à cette notion qu’est la Perfection… Perfection, notion relative. Car pour vous, ce n'est pas elle. Pour elle, c'est vous. Et elle...

    En ce qui concerne son corps, je n’ai rien à préciser. C’est une description inintéressante à mon gout. Elle n’est pas trop grande, fine, sa peau est d’une couleur particulièrement pâme, presque maladif tant elle est blanche, froide, et si peu engageante. Point… Rajoutons à cela un serpent tatoué, qui s'enroule autour de son bras droit, reposant sa tête sifflante sur le dos de sa main, tandis que sa queue entour son cou.

~ Psychologie ]
    Un caractère ? Vous comptez résumer un caractère, l’immensité des facettes d’un diamant à ‘ça’… C’est trop difficile pour celui qui en est chargé… Trop simple à lire. Je vous fais une liste non exhaustive ? Aller, ce serait être paresseux, et vous n’en retiendriez rien. Je vais donc tenter quelque chose de simple…

    Sanae est folle. Point. Vous lirez, vous verrez. Ca s’enchaine, passé, présent, futur, elle tombe, tournoye, tue, vit, mais je ne crois pas qu’elle soit vivante. Consciente, elle plonge, elle rit, égorge, par-ci, par-là, inconscience totale de ses actes. Psychopathe ? Qu’est-ce ? C’est Elle. Aile. Battement de votre cœur affolé. Le battement d’aile est sa marque de fabrique. Oh, vous pouvez soupirez. Vous êtes en train de tourner avec elle. Voyez-vous le paysage défiler ? C’est sa folie qui se dénude. Tournez. Tournez encore. Puis fermez les yeux, lâchez tout. Laissez-vous emporter. Eve vit dans cette liberté, constamment, alors que vous ne venez d’en apercevoir une infime partie. Marchant sur l’eau, elle s’y laisse glisser, et se fait porter dans les tumultes, au fond ou à la surface, peu lui importe. Absence… Un temps… Silence…

    La folie est grisante, mais sa lucidité reste grande, et est toujours présente. On peu donc dire qu’elle est folle dans l’intelligence de son esprit. Que c’est justement sa forme d’intelligence qui a créé cette dépendance à la folie. Parce que la dépendance, c’est justement ce qu’elle éprouve, envers elle-même et envers rien d’autre. Sans elle, elle considère qu’elle ne serait rien, et que par conséquent, elle est la personne la plus importante au monde à son regard. Mais elle est folle sur bien des niveaux.

    Hay est détestable. C’est ce qu’on dit. Elle ne se considère pas comme sadique, sadomaso, détestable, ou encore complètement tarée, mais c’est ce qu’on dit. Alors elle dément, du verbe démentir, mais elle se range du coté de ce qu’on dit, elle adhère. Si vous la croisez, elle adorera vous faire sentir qu’elle est là. Elle adorera marquer votre esprit, pour exister, pour qu’on se souvienne d’elle. Pour que si l’on parle d’elle, vous fassiez tout de suite le lien. Parce qu’elle existe à travers vous. Et parce que dans son monde de tumultes, de tournoiement, sans cesse, sans vous, tout ne serait plus rien. Tout ne serait qu’illusions, films passés en boucle d’une vie éventuelle… Que grâce à vous, son monde se stabilise, et sa lucidité cache sa folie. Désordre intérieur.

    Pour la lire. Il faut fermer les yeux…

    Toujours.


~ Historique ]
    « Je suis Eve. Eve… E. V. E. Eve… J’aime bien »
    Doucement, l’enfant ferme les yeux. Sa bouche sur lequel sèche le sang de ses parents se souviendra toujours de ce goût… Toujours.

    L’ours en peluche tourne entre ses doigts fins. Ses yeux se ferment, comme un souvenir. Ils sont baignés de larme. Une mélodie résonne. Douce. Dans le ciel, la lune brille.
    Quelque part, dans la nuit, un enfant rit.

    ¤°¤

    « SANAE ! »
    Ses yeux décrivent une courbe jusqu’au ciel, tandis qu’elle s’interrompt. Tous les yeux se tournent vers la Kazawa. Elle n’a pas besoin, elle lui tourne le dos. Cependant, elle sait déjà ce que la vielle intendante lui veut, et prolonger les réjouissances n’a rien d’intéressant cette fois-ci. Doucement, elle se lève, époussette sa jupe, s’incline face aux gens qui l’écoutaient, et suit la bonne femme.

    L’orphelinat était un lieu retiré du monde, aux hauts murs dotés de barbelés, enfoncée très loin dans les terres. Elle y avait été envoyée vite fait, après avoir été découverte dans une maison, dont les habitants avaient disparus. Elle n'avait plus de nom. Ce fut donc Sanae. Revenons à notre Orphelinat. Le portail principal était sans cesse surveillé par un vieux pervers qui n’avait pas le droit d’entrer. Lorsque les gamines allaient le narguer, il franchissait le portail, et leur courait après, mais ses vieux os rouillés ne parvenaient pas à rattraper la jeunesse enfantine qui courait loin devant lui en l’invitant à les rejoindre. Généralement, les surveillantes le remarquaient assez rapidement, et il était assez souvent renvoyé dans sa loge avec une réduction de salaire. Ce fut le seul point joyeux de ce monde...

    ¤°¤

    « Je suis Sanae. Sanae… S. A. N. A. E. Sanae !!! Hinnnnnn »
    La main de la demoiselle s’envole, et vient s’écraser sur la joue du jeune homme qui lui fait face. Celui-ci, surpris, se recule, mais avant qu’il n’ai pu réagir, elle réplique, les larmes aux yeux…

    « Je te dis que je t’aime, et tu me répond pas ? Je… Je te hais ! »
    Silencieux, le jeune homme tourne la tête vers sa mère. La jeune enfant doit avoir huit ans, et lui dix. Elle s’était enfuie de l’orphelinat, en se jouant du vieux gardien, et venait de le voir. Les cheveux blonds en broussaille du jeune homme, et ses yeux bleus… Il lui ressemblait, il… Il ressemblait à un ange. Elle l’avait alors abordée, et était partie dans monologue, racontant sa vie à l’orphelinat, et l’amour qu’elle ressentait pour la vision qu’elle avait eu de lui. Puis elle s’était présentée. Ce qu’elle ne savait pas, c’était que ce jeune homme était muet. Et qu’il était malade. Et qu’ils s’aimèrent. À la folie. Mais qu’il mourut deux mois plus tard. Elle était alors blonde aux yeux bleus.

    ¤°¤
    Elle était désormais blanche. Blanche. Blanche. Avec de légers reflets. Toujours. Nous n'avons jamais compris pourquoi. Le front collé à sa vitre, son souffle dessine un tit nuage de buée sur le verre glacial, tandis que ses yeux se perdent dans la contemplation du parc enneigé. La mélodie lui revient. Douce. Sa langue caresse délicatement ses lèvres. Elle retombe sur son lit. Sa main se pose sur sa hanche, délicatement. L’autre fait sortir la lame. Sans sourire. Elle glisse. Se retourne. Un mince filet de sang se dessine sur les draps blancs. Elle l’embrasse, s’imprégnant de cette sensation. Le sang sur ses lèvres. La lame coule comme les larmes, comme le sang. La lame glisse comme le voile qui se tisse, comme son cœur qui se hisse, hors de portée. Sa poitrine naissante s’aplatit contre sa cuisse. Un cri résonne. Elle ne l’entend pas. Elle entend la mélodie… Elle entend la mélodie… Elle entend la mélodie…Elle entend la mélodie…

    Ses yeux s’ouvrent.
    Sa main part. Elle ne veut pas. De quoi ? Elle ne veut pas ! De quoi ? Elle ne sait pas… Sa main revient tout aussi brusquement. Des cris, encore. Lorsque son regard déchaîné se pose sur la vielle intendante, effondrée à terre, deux traces ensanglantées sur son visage, ses doigts s’ouvrent doucement. Comme au ralentit.

    Le silence se fait. Le bruit de la lame qui heurte le sol. Elle porte les doigts à son propre visage. Sur ses jours, des rigoles de sang, mêlées de larmes. Puis, lentement, celle qui n’est encore qu’une enfant s’évanouit.

    Elle se réveille, dans une salle blanche. Elle a mal. Les draps, qui d’ordinaire caressent sensuellement sa peau, la frottent et la font souffrir. Elle ne peut pas bouger sans avoir mal. Une petite moue fatiguée e dessine sur son visage. Elle voit quelqu’un entrer. Une femme, de forte corpulence, aux cheveux bruns emmêlés, aux yeux banals et vide de vie, une vie qui semble avoir tout vécu, et s’être terni après de trop nombreux malheurs. L’infirmière dégage délicatement le drap, laissant découvrir à Eve son corps nu, couvert de cicatrices. Trop sonnée pour demander des explications, elles viennent d’office. Jouer avec le cutter n’est pas bon, ma belle. Tu as de la chance, c’est peu profond, ça cicatrisera, et dans quelques mois, ce sera invisible. L’enfant se tourne, se retourne. Elle n’a épargné aucun endroit. Son ventre, ses bras, son visage, ses jambes ; elle a dessiné de grandes lanières de cuir, dans le sens de la largeur, semblant à présent des chaînes l’enserrant.

    Psychopate ? Ma petite Elea ? Un chouilla, oui. Mais ses yeux se ferme, les vôtres aussi, et on se perd dans l'oubli. On préfère.
    Et deux jours après, on lui trouve une famille d'adoption. De gentils bourgeois, tout simples, qui ne pouvaient avoir d'enfants.

    ¤°¤
    Derrière la vitre, Line observe sa fille adoptive d’un air songeur. Sanae n'est plus. Elle est désormais Hay. Cela faisait quatre ans qu'elle était chez elle, et restait seule, sans parler aux autres, ayant pourtant de bons résultats scolaires, ne se mélangeant pas, ni ici, ni ailleurs. Au fil des années, elle tente de se rapprocher de l’enfant qu’elle adule. Mais celle-ci est trop grande, désormais, et ne lui accorde que peu d’importance. Aile grandit peut à peu, elle aussi, mentalement, préférant rester seule et désagréable, avec son apparence albinos, plutôt que de se la jouer greluche sur talons de trois mètres de hauts.

    ¤°¤
    Si Hay a gardé son arrogance, elle en a perdu son enfance. Ou presque. Une facade, qu'elle expose. Une oeuvre d'art qui plait. Mais ce n'est pas la réalité... Son sourire hante. Son regard brûle. Il se fait tard. Les lumières s’éteignent. Les corps s’étreignent.

    Dans la nuit, un enfant rit.
    Quelle est la fin de cette histoire ? Elle est simple. Leur lèvres se croisent, rencontre amoureuse. Adieu... Le vase quitte son socle et vient s'écraser sur le miroir marqué d'un rouge à lèvre... Rouge... Rouge arrogant... Rouge sang... Un bout de verre vole, elle le ramasse. Son coeur bat. Trop vite. Elle le pose sur son bras.

    « NON ! »
    Pourquoi toujours des cris inutiles ? La demoiselle couvre ce bruit désagréable en criant des infjures à son tour, et se jette sur Line dans un élan de folie. Le bout de verre entaille son oeil droit. Le bout de verre entaille ses lèvres. Le bout de verre entaille ses joues. Et tandis que Line se débat, Eve pose délicatement ses lèvres sur les siennes. Ses dents caressent doucement la chair ensanglantée. Mais sa mère est plus forte. Bien plus forte. Elle se doit maintenant d'arrêter de tenter de la ramener à la raison. Elle la repousse violament, et va à l'autre bout de la pièce, le visage en sang.

    Une goutte tombe. Une goutte tombe. Une goutte tombe. Une goutte tombe. Une goutte tombe.
    Les talons résonnent une dernière fois dans la pièce. Elle s'enfuit.

    Quelle est la fin de cette histoire ? Elle fut emmenée. Tout simplement. Elle mourut pour la troisième fois, et devint Elea, le N° 126. Elle avait toujours su qu’elle était différente. Lorsqu’on l’attaqua dans cette ruelle, ce jour là, et que son sang tachant ses vêtements les fit entrer dans un coma léger, elle ne sut comment réagir. Envoyée pour qu’on l’étudie. Est-elle vraiment mutante ? Si oui, il devient évident qu’elle est à enfermer. Si non, on trouvera bien un accueil quelconque, genre… l’Asile.
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Nacura Yamamoto

Nacura Yamamoto


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Date d'inscription : 03/02/2008

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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 2:53

Bienvenue parmis nous miss ^^.
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Vincent Valentine

Vincent Valentine


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Date d'inscription : 08/02/2008


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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 5:29

Bienvenue, très chouette la présentation ^^
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Elizabeth Morrisson

Elizabeth Morrisson


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Âge: 20 ans
Secteur/Métier: A, MdP et accueil des nouveaux Mutants
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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 6:13

Wow... superbe fiche Ô_ô
Bienvenue ^^ Fiche validée!
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Elea Senoete

Elea Senoete


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Date d'inscription : 10/02/2008

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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 7:16

Merci à vous =)
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Train Heartnet
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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 13:14

Bienvenue^^
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Calix Nazaoh
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Calix Nazaoh


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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeDim 10 Fév - 13:29

Bienvenue à toi ^^
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Fly
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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitimeLun 11 Fév - 10:19

Bienvenue huuuuuu...
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MessageSujet: Re: [ 126 ] Elea Senoete   [ 126 ] Elea Senoete Icon_minitime

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